1 ntenant de les composer pour qu’ils ne jouent pas faux , pour qu’ils ne jouent pas les uns contre les autres, mais ensemble,

2 e peut conduire qu’à des conclusions probablement fausses dans le domaine militaire, et ruineuses à coup sûr dans le domaine éc

3 m vates falsus sim (Plaise au Ciel que je sois faux prophète) Et dans la tradition biblique, ce soupir déchirant du vrai

4 iel et ses relations économiques. Donc, il serait faux de baser l’Europe, cette immense construction, sur ce qu’il y a de pl

5 ates falsus sim ! », « Plaise au ciel que je sois faux prophète ! », ou comme Jérémie : « Seigneur, tu le sais ! je n’ai pas

6 ntre le désordre des démocraties de l’Ouest et le faux ordre des totalitaires de l’Est ; entre la dissolution individualiste

7 t pas centrisme ou neutralisme, ni que tout était faux des deux côtés. C’était un refus de penser qu’une chose est bonne ou

8 rais dire à John Hellman, en terminant, qu’il est faux d’écrire aujourd’hui que Paul Nizan a « perçu » le personnalisme comm

9 « Plaise aux dieux que je sois un faux prophète » (automne 1996)am « … Je sens venir des catastrophes org

10 pression latine « plaise aux dieux que je sois un faux prophète » (utinam vates falsus sim). Je dis à mes contemporains, fai

11 liste ». am. « “Plaise aux dieux que je sois un faux prophète” », Temps européens, Genève, n° 1, automne 1996, p. 34-41. P