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ns qu’il peut renoncer violemment à tout un monde
faux
pour en créer un autre. Sa vie en Afrique est un second renoncement.
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ion — entre une bourgeoisie déchue et un marxisme
faux
? Il reste à faire la révolution. Ni à gauche, ni à droite, il n’y a
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se et une) était homogène et souple, vivant, sans
faux
arrêt, sans cet arrêt d’illusoire devenu réel que font les actuels na
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t). On dirait une « histoire idiote ». Tout y est
faux
. C’est incroyable à quel point cela ressemble à la plupart des entret
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sez froid. La culture m’a repris. Je suis dans le
faux
et tout y est correct : je dis que la thèse que je défends est vraie
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s, que de tirer comme M. Madelin des conséquences
fausses
de faits « prouvés ». La thèse peut se discuter. L’illustration m’en
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les n’étaient excitantes pour l’esprit que par la
fausse
vertu qu’on leur prêtait. Mais aussitôt qu’elles ont trahi leur commu
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l, je crains qu’il ne donne de moi une idée assez
fausse
. Je ne l’ai point tenu durant les longues périodes d’équilibre, de sa
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lui-même. Et cependant, « donner de soi une idée
fausse
», c’est bien ce que devait éviter Gide, plus jalousement qu’aucun au
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souvent, me semble-t-il, avec l’image courante et
fausse
d’un Calvin inhumain, presque manichéen.) L’évangélisme, hérité malgr
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vient pour lui le problème négatif du refus de la
fausse
conversion, ou de la conversion trop « facile ». « Je ne suis ni prot
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it par confondre avec les exigences de la mort au
faux
-moi, l’instinct de mort… Contre cet ascétisme non-transfigurant, Niet