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er des choix perpétuellement, entre le vrai et le
faux
, le beau et le laid, le remède et la maladie. Il n’existe, il ne peut
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te et plus libre reste ouvert. De plus, il serait
faux
de penser que notre idée européenne du progrès ait vraiment émigré en
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à la conscience. Mais elle n’est pas tout à fait
fausse
non plus, car j’ai eu conscience de moi au cours de cette éducation e
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centralisées, ou au contraire de la coalition, le
faux
problème des souverainetés aigrira ou bloquera les débats. L’éducatio
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magne – Adenauer ou P + 100 = P – 125. Ce qui est
faux
, manifestement, sauf dans le seul cas où l’on attribuerait à « Peur d
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nçaise les gens du MRP et de la droite était donc
faux
: leur menace d’un retrait des crédits américains, leur fameux dilemm
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trecoup nationaliste allemand. » Tout cela serait
faux
? Rien de tout cela ne se serait produit ? Il se trouve que la suite
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r à n’importe quoi d’autre, c’est qu’alors il est
faux
de penser « Dieu », mais aussi de penser « Liberté ». Le refus qu’on
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t bien les faits, dans l’ensemble. Mais il serait
faux
de penser que les peuples d’Occident aient jamais cherché et voulu ce
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ajouter d’artificiels. Ce manque de prévision, ce
faux
départ, ont été lourdement payés — et le sont encore — par le proléta
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e « l’ouvrier esclave de la machine ». Mais les
faux
problèmes écartés — et la classe ouvrière libérée, non par les commun
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t fou, en se fondant sur l’observation, c’était «
faux
» parce que cela desservait le Parti. K. nous dit aujourd’hui que le
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peut devenir décisif, telle hypothèse se révéler
fausse
. Ce qu’en revanche on ne voit pas du tout, c’est l’intérêt de jouer a
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19 pages pour démontrer que cette politique était
fausse
. Motif du revirement : l’intervention russe à Budapest. « Personne n’
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t est une faute grave, donc cette politique était
fausse
, et j’ai seul le droit de le dire, l’ayant soutenue jusqu’au dernier
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ar là que l’union de l’Europe est une chimère, un
faux
problème. Quel problème ne serait faux, à ce compte ? Attribuer celui
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himère, un faux problème. Quel problème ne serait
faux
, à ce compte ? Attribuer celui-ci aux seuls intellectuels (les masses
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, en passant, le sujet véritable de son livre… Ce
faux
, bien entendu, n’est pas signé. Mœurs courantes, me dit-on, on ne rép
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défendons sous le nom de démocratie, qui est une
fausse
étiquette, sans nul doute. Le malheur veut qu’elles aboutissent le pl
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es, leur intoxication par le sensationnel, et les
fausses
déductions qu’elles tirent à coup sûr de chaque sensation renouvelée.
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de la liberté. Le système n’en devient pas moins
faux
, pour être trahi par les siens. Mais presque toutes les trahisons qu’
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échec. Les conclusions que le monde en tire sont
fausses
, car l’échec du petit pamplemousse est moins celui des USA que celui
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d’ordre en ces matières ? Je ne parle pas ici des
fausses
nouvelles, très rares et trop vite démenties par les agences rivales
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’on a convenu de taire. La nouvelle vraie devient
fausse
par sa seule mise en page, par les omissions qu’elle suppose, et par
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des raisons « sacrées », comme on va le voir.
Fausses
analogies Si l’on pense automatiquement que l’Europe de demain doi
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on du sacré féodal et des sacrements catholiques,
faux
serments, sorcellerie, magie noire. Tout cela sur un fond d’hérésie b
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et sur son cœur, il n’est plus de parole vraie ou
fausse
, chacune étant, hors de l’obscur, l’incomparable naissance de l’espri
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ter profane est sacralisé par l’horreur. Tout est
faux
, insondablement faux, perd son sens et tourne au cauchemar, par la co
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lisé par l’horreur. Tout est faux, insondablement
faux
, perd son sens et tourne au cauchemar, par la coïncidence absurde de
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ce n’est pas, bien au contraire, qu’ils soient de
faux
Occidentaux… Cette faiblesse congénitale dans l’attitude des communis
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e plutôt que de se livrer aux directives d’un tel
faux
savant. La spontanéité de l’inclination amoureuse ne reconnaît qu’une
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tous. Et ce n’est pas une raison pour qu’il soit
faux
. Il n’en fait pas moins ricaner ceux que l’ennui, la satiété, la jalo
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Amour sans réveil. Là, rien n’est plus ni vrai ni
faux
, ni tien ni mien, ni séparé ni interdit, dans l’Un sans nom : Dans l
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révolutionnaire en Allemagne ». (Rien n’est plus
faux
: la République fédérale joue Brecht autant qu’on le joue à Paris, ce
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pté ce paiement ? — Comment donc, ce n’est pas un
faux
chèque, puisqu’il est entièrement fait par moi ! Et signé ! Rien de p
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e puisse l’être que d’une manière insuffisante ou
fausse
, si l’on ne s’y met sans retard : les documents imprimés, peu nombreu
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vidés de leur contenu terroriste, de même que les
fausses
oppositions entre liberté et planification, attachement à la patrie e
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les pays à la fois…) ne sont pas le type même de
faux
problèmes, résultant de la seule fiction d’économies dites nationales