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ue la connaissance du vrai danger nous guérit des
fausses
peurs Au dessert nous étions d’accord : ce qui manque le plus aux
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e. Et c’est peut-être le moyen de nous guérir des
fausses
angoisses qui nous paralysaient, ou de l’angoisse de faux périls. On
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oisses qui nous paralysaient, ou de l’angoisse de
faux
périls. On n’est jamais plus en danger que dans les moments où l’on s
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é dans un étang de flammes et de souffre avec ses
faux
prophètes, pour y être tourmenté nuit et jour, au siècle des siècles.
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de l’art inauthentique. Le diable est le père du
faux
art, de toutes ces œuvres qui ne sont « ni bien ni mal », parce que l
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ables, vous ne distinguez plus le bien du mal, le
faux
du vrai, la charité de la cruauté ; c’est lui qui a pris le jeu en ma
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tuel en une « vertu » délirante, en un vertige de
fausse
innocence, en une exaltation de puissance destructive. C’est lui qui
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utenable incognito pour quelque prudent alibi… La
fausse
piste la plus tentante… 14. Le deuxième tour Et c’est ainsi qu’
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ous de préférence, en se faisant annoncer sous un
faux
nom. 22. Notre primitivisme Chacun sait que les « primitifs » d
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re en y répandant alternativement de vraies et de
fausses
nouvelles. Voilà le diable à l’œuvre dans nos vies ! Le maître du con
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’est pas la vraie beauté des sentiments mais leur
fausse
beauté (donc leur laideur réelle) qui fait de la mauvaise littérature
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opposer que des sentiments pervertis, tout aussi
faux
que ceux dont ils n’étaient que l’inversion. Nous ne savions plus con
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lassiques, on considère qu’une chose est vraie ou
fausse
, bonne ou mauvaise. Si l’on dit un mensonge, on sait qu’on ment, et l
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ir, et c’est l’autosadisme de ce siècle. Tout est
faux
mais tout est réel. Puisqu’on en meurt de plus en plus. C’est un cauc
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éalité. La guerre existe autour de nous, elle est
fausse
, impossible et réelle. Elle nous dépasse et nous l’avons créée. À tel
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out est inextricable et sans issue ? Que tout est
faux
, impossible, et réel. On me dit : « Il y a les bons et les méchants,