1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
1 : pas un seul lieu sacré en dehors des églises en faux gothique luxueux, dominées de très haut par les gratte-ciel ; pas un
2 khart, et la Bhagavad-Gita. Et pourtant il serait faux , plus encore que banal, de répéter ici « tout est dans tout ». La par
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
3 orer son existence. Pourtant, rien ne serait plus faux que d’en inférer je ne sais quel vieillissement de l’Occident. Restit
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
4 t bien les faits, dans l’ensemble. Mais il serait faux de penser que les peuples d’Occident aient jamais cherché et voulu ce
5 de « l’ouvrier esclave de la machine ». Mais les faux problèmes écartés — et la classe ouvrière libérée, non par les commun
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
6 inant, et la joie surpasse la fatigue mais chaque faux pas devient mortel. Il y a progrès quand le défi s’élargit, forçant l