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on du sacré féodal et des sacrements catholiques,
faux
serments, sorcellerie, magie noire. Tout cela sur un fond d’hérésie b
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et sur son cœur, il n’est plus de parole vraie ou
fausse
, chacune étant, hors de l’obscur, l’incomparable naissance de l’espri
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à la conscience. Mais elle n’est pas tout à fait
fausse
non plus, car j’ai eu conscience de moi au cours de cette éducation e
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les n’étaient excitantes pour l’esprit que par la
fausse
vertu qu’on leur prêtait. Mais aussitôt qu’elles ont trahi leur commu
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e plutôt que de se livrer aux directives d’un tel
faux
savant. La spontanéité de l’inclination amoureuse ne reconnaît qu’une
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tous. Et ce n’est pas une raison pour qu’il soit
faux
. Il n’en fait pas moins ricaner ceux que l’ennui, la satiété, la jalo
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Amour sans réveil. Là, rien n’est plus ni vrai ni
faux
, ni tien ni mien, ni séparé ni interdit, dans l’Un sans nom : Dans l
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L’expression, pour être toute faite, est pourtant
fausse
. C’est l’âme de Gide qui a fait les frais de sa ruse vitale. Il faut
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it par confondre avec les exigences de la mort au
faux
-moi, l’instinct de mort… Contre cet ascétisme non transfigurant, Niet
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cations contre les « impudiques » et contre les «
faux
docteurs ». (Le ton est le même dans les deux cas, l’assimilation de
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trevit le romantisme, qui en tira des conclusions
fausses
. Elles valent pour la sexualité proprement dite, le social et l’éduca