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ner, Pie II a tôt fait de les exclure en tant que
faux
chrétiens : Ils sont tous imbus d’erreur, quoiqu’ils rendent un cult
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de cette haute assemblée pouvait être assez vil,
faux
et malhonnête au point d’être influencé par l’argent, il aurait la po
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érêts véritables des nations faisait régresser le
faux
système selon lequel la grandeur et le bien-être de l’État reposent s
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ité. On ne saurait rien imaginer au monde de plus
faux
, car sur notre Terre où nulle feuille n’est pareille à une autre et o
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ue lui assignaient les tribus ennemies. Ce serait
faux
et aller à fin contraire que de rechercher à laquelle des grandes nat
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s esprits, dans les opinions bornées et les idées
fausses
qui ont prévalu jusqu’à présent. Ainsi l’idée d’État, avec laquelle d
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et pour leur bien, les Européens opprimés par une
fausse
« civilisation » sont invités à se laisser éclairer et libérer par la
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ontre les démocraties modernes, c’est celle de la
fausse
philosophie de la vie qui pendant un siècle a altéré leur principe vi
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pe. Combien ces termes erronés trahissent-ils une
fausse
position du problème : comme si l’Europe un jour avait été chrétienne
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ernationale de l’avenir, il faut nous défaire des
fausses
représentations du passé qui ont gagné du terrain au cours du dernier
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u contraire une pluralité des allégeances. Il est
faux
de penser que le seul devoir de l’individu serait son devoir envers l