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qu’on pouvait spéculer sur ses rapports justes ou
faux
une fois pour toutes avec un Dieu qui ne change pas. Il y a des homme
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s. b. Texte initialement paru en français (« Une
fausse
nouvelle : “Dieu est mort” », Liberté de l’esprit, Paris, n° 41, juin
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que si l’homme athée choisit mal, alors tout est
faux
, sans recours. « Nous sommes seuls, sans excuses », dit un existentia
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dans le détail, mais l’impression d’ensemble est
fausse
, ou inexistante. Vous reconnaissez le nez, les yeux, la bouche, les p
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cette « note religieuse », ce ne peut être qu’une
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note, qu’on leur pardonne d’ailleurs bien volontiers, vu leur métier.
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t au transcendant, donc aussi celui qui doute des
faux
absolus de ce siècle. Il est celui qui doute au nom de sa foi. J’ai d
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a foi. J’ai décrit rapidement quelques-uns de ces
faux
absolus athées, dans la philosophie et dans la politique. La thèse pr
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’est un fait que le totalitarisme a rompu la paix
fausse
qui semblait établie entre les sociétés laïques et les Églises ; qu’i
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vue d’une éthique fondée sur la vocation : a) un
faux
universalisme fruit d’une éducation sans couleur confessionnelle, phi
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destin, ce sont leurs révoltes constantes, leurs
faux
pas, leurs accès d’incroyance. Et toute leur grandeur est à Dieu, c’e
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ébreux se rebellent, ils fuient dans le culte des
faux
dieux, rassurants parce que « faits de main d’homme »… Mais sans relâ
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point. « Mission de l’Art » pour moi, cela sonne
faux
. L’art avec une majuscule est une de ces allégories officielles que n
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sans majuscule, ne peut pas avoir de mission. Un
faux
dieu, ou un mot, n’ont pas de mission. Seul un homme peut en recevoir
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nécessaire. Seuls, les artistes académiques, les
faux
artistes, cherchent encore à faire beau, ou flatteur. Ma seconde rema
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l de notre civilisation. Rien ne serait donc plus
faux
ni plus dangereux pour nous que de maintenir des cloisons étanches en
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n de ces termes opposés deux à deux est également
faux
en soi, c’est-à-dire à la fois excessif et incomplet. Il s’ensuit que
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ion romantique d’un renouveau de la liberté, d’un
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réveil rêvé pendant un long cauchemar qui serait, en fin de compte, l
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ours. Qui ne l’a pas dit ? Curieusement, tout est
faux
dans ce langage ; tout n’est que manière de parler abusivement prise