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ête pas une décadence en essayant de résoudre les
faux
problèmes ou les problèmes sans issue qu’elle a fait naître. C’est ce
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mes cruellement utilisés par tous les prêtres des
faux
dieux et même du Vrai. Cette raison sceptique et purificatrice soutie
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quoi ils se rebellent contre lui, pour suivre les
faux
dieux « faits de main d’homme », les « idoles de leur invention ». M
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: « Il prononce des paroles vaines, des serments
faux
! » s’écrie le prophète Osée. Quand les clercs de la Cour de Rome ces
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isent rien qui compte. « Paroles vaines, serments
faux
! » Or, quand la parole se détruit, quand elle n’est plus le don qu’u
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clichés bourgeois. Mais si les mots d’ordre sont
faux
? Si l’ordre qu’ils imposent est arbitraire, ou s’il ne mise que sur
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e des individus. On peut estimer qu’il y a là une
fausse
communauté, une fausse réponse, une duperie spirituelle ; je le crois
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t estimer qu’il y a là une fausse communauté, une
fausse
réponse, une duperie spirituelle ; je le crois, au nom d’une vérité p
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ent d’une nouvelle culture européenne… b) Il est
faux
que nous soyons obligés de commencer par l’extérieur, si nous voulons
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érer la fin ; ensuite la qualifier de vraie ou de
fausse
; et finalement choisir « en connaissance de fin », c’est-à-dire s’en
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ponse en soi. Une mesure n’est en soi ni vraie ni
fausse
; elle n’est que plus ou moins fidèle à la fin qu’elle prépare et rep
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dans leur réalité, c’est-à-dire qu’il se pose de
faux
problèmes, qui admettent une infinité de solutions, tantôt purement f
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n’y croient pas, mais je sais qu’on ne croit aux
faux
dieux, en tous temps, que pour fuir l’Éternel. Et je ne leur souhaite
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e revenir en arrière, de revenir par exemple à la
fausse
tempérance du bourgeois égoïste, mais au contraire d’aller jusqu’à la
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omme imperceptible à l’échelle d’aussi monstrueux
faux
pas, l’activité des quelques hommes qui cherchent à définir le vrai b
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don de l’Esprit, révélation. Elle tue en nous le
faux
dieu du moi pur, pour ressusciter le vrai Dieu. C’est pourquoi dans l
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pensée universitaire aboutissent normalement à un
faux
: « se boucher les yeux. » Elle postule que le philosophe est dégagé