1 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
1 et, par suite, revendiquent. Tout est donc devenu faux dans le rapport civique. Il ne pouvait survivre à l’oblitération de s
2 r est brutalement imposé. Ou encore : tout ce qui fausse ou fixe un équilibre écologique, ou bloque un cycle naturel, ou au co
3 c’est qu’on vient de léser le Sacré ! Vraie et fausse croissance Le rapport dit du MIT succédant au premier rapport Forr
4 t, son déclin et sa mort se trouvent inscrits. La fausse croissance est sans programme, théoriquement illimitée ; une fois lan
5 . 18. Mais « comme cela », tous les calculs sont faux , et pèchent par un excès délirant d’optimisme, pour autant que le tie
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
6 essais ; ou bien que l’information de 1972 était fausse , totalement et délibérément. On nous annonce ensuite, par étapes, en
7 tions prospectives des années 1965 à 1973 étaient fausses . Nulle part la consommation n’a augmenté aux taux prévus. L’argument
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
8 restige national. Je souhaite que ces vues soient fausses . Mais il n’appartient qu’aux Français de le faire savoir. En attendan
4 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — L’avenir sensible au cœur
9 de la production matérielle. Au type de prévision fausse et néfaste qui nous annonce comme un fait scientifique que désormais
10 am vates falsus sim (plaise aux dieux que je sois faux prophète !) pourrait bien être le motto du club de Rome. Au surplus,
5 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Première histoire de fous : l’auto
11 d’avenir. En d’autres termes, la vision deviendra fausse parce qu’elle était juste au début ; ou, pour pousser à la limite : l
12 ondamentale. L’infaillible progrès aurait-il fait fausse route ? Est-il temps encore de le détourner du désastre spirituel ver
6 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Deuxième histoire de fous : Hitler
13 s ce n’était pas une réponse à Hitler en tant que faux prophète suscité par la grande frustration communautaire du peuple al
14 la puissance des États et des firmes, par là même fausse au-delà du court terme, et bien souvent dès le court terme (comme dan
7 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Devenir soi-même
15 it la santé de l’homme occidental. Tout ce qui la fausse est donc morbide et mène au totalitarisme, ou bien à l’anarchie qui e
8 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
16 démanteler. Raisonnements monstrueux mais d’abord faux . Dix ordinateurs de petite taille coûtent moins cher qu’un seul gros
9 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience régionale
17 aux définitions formelles, serait dangereusement fausse et mystifiante quant aux réalités politiques et culturelles. La liber
10 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — L’autogestion politique
18 ion de l’Europe. » Ce qui fait peur, c’est l’idée fausse que se font de la région la majorité des électeurs, leurs députés, et
19 par le hasard des guerres et les calculs souvent faux des traités ; — tout ce qui relève du domaine public (dans les secteu
11 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
20 onomie, de la sociologie et du civisme) primo est fausse , contraire aux faits les plus patents, et secundo rend impossible tou
21 conscience de vivre un long cauchemar où tout est faux , impossible et réel ; le refus de croire que l’état des forces catalo
12 1977, L’Avenir est notre affaire. Conclusion. « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? »
22 e puissance, qu’ils assimilent à l’invocation des faux dieux. Pour les évangiles, la puissance est la plus grande des tentat