1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
1 nsonge chronique. Et de fait, la brutalité paraît fausse , parce qu’elle impose un ordre arbitraire au prix d’un désordre. Mais
2 puissamment. Mais en revanche, l’habileté paraît fausse , parce qu’elle se sert du mensonge comme d’une arme normale. La bruta
3 nge français n’est pas mythique. Il ne crée ni ne fausse rien d’essentiel à la réalité. Le système D n’est pas un système phil
4 tement engagée dans le tragique essentiel. Calcul faux , comme tous les calculs de l’âme : le péché n’est réel que pour celui
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
5 Une « tasse de thé » au palais C…5 Il fait fausse route, celui qui considère la chose mondaine autrement que comme symb
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
6 enté de confondre l’excès de bizarrerie. C’est le faux merveilleux qui a discrédité le vrai, lequel est quotidien, circonspe
7 itants de Debrecen se plaignent de n’avoir pas ce faux confort que nous n’avons qu’au prix de tout ce qu’à Debrecen je viens
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
8 s et l’accompagnement dans les feuillages de voix fausses mais aériennes, des chansons du Grand Duché de Bade qui sont ce que j
9 , sans méfiance, — ou bien à la jeune fille, sans fausse honte. Si j’étais vraiment libre, je lui parlerais très doucement… La
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
10 ferry-boats poussaient leur solo de désastre, de faux désastre et d’appel commercial, dans le matin strident de l’East Rive