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u modèle, le soir, à la lampe, en compagnie de sa
femme
(elle peint aussi, d’un œil regardant le sujet, de l’autre ce qu’en f
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salle à manger ; des jaquettes de couleur pour ma
femme
… Mais l’homme avait posé son journal. Soudain, portant la main à son
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, et la musique noyait mes pensées. Je vis qu’une
femme
était assise à notre table, en robe rouge, et très fardée. Elle jouai
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es dés roulèrent, pour un dernier enjeu. Alors la
femme
lança sur la table cette rose qui s’effeuilla sur les dés, et partit
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s soirs. Il faut pourtant rentrer chez moi, et ma
femme
m’embrasse et me regarde avec inquiétude, parce que je ne suis plus t
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de me trouver à côté d’une place vide : la jolie
femme
qu’on attend dans ces circonstances, une fois de plus manquait le ren
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de monde dans les rues. Des jeunes gens avec une
femme
à chaque bras, l’air de ne pas trop s’amuser. — Ceci du moins n’a guè
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se pose plus. Vous le savez, je n’ai aimé qu’une
femme
— au plus deux, en y réfléchissant bien, mais peut-être était-ce la m
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a même sous deux attributs différents. Toutes les
femmes
qui m’ont retenu un instant, c’était parce qu’elles évoquaient cet am
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mprennent jamais rien, dès qu’on aime… Oh ! cette
femme
! elle n’était qu’un regard, un certain regard, mais j’ai su en retro
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ant qu’elle devait les donner à la première jolie
femme
qui passerait seule. Nous nous arrêtâmes non loin, à une devanture de
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ui les revêtiraient. Vint à pas pressés une jeune
femme
, chapeau rouge et manteau de fourrure brune, inévitablement. Et ce qu
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passa fut, hélas, non moins inévitable : la jeune
femme
refusa d’abord les fleurs pour se donner le temps de regarder autour
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y avait plus qu’à lui prendre chacun un bras, une
femme
pour deux hommes — et ce fut bien dans cette anecdote dont Gérard att
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âillait : « Voilà ce que c’est que de prendre des
femmes
au hasard, disait-il. Je sens très bien que nous allons nous ennuyer
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hillings, dans un décor banal et imposé, avec des
femmes
qui élargissent des sourires à la mesure de votre générosité. Vos boî
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tante de faux luxe. La misère est de voir ici des
femmes
aussi ravissantes que celle-là qui danse en robe mauve, avec tant de
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r du palais, descendaient les invités du bal. Des
femmes
sans chapeau couraient vers les voitures, les hommes s’inclinaient po
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xés intensément, à la sortie des invités, sur une
femme
qui s’en allait toute seule vers une auto à l’écart des autres. Une f
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ute seule vers une auto à l’écart des autres. Une
femme
aux cheveux noirs en bandeaux, au teint pâle, l’air d’autrefois. Il a
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se fila devant moi ; je reconnus la voiture de la
femme
aux bandeaux noirs. Mais les rideaux étaient baissés. Déjà on criait
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res yeux, c’est pourquoi il fait peur à certaines
femmes
. Un soir, après quelques alcools et un échange de pensées au même ti
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rappante, il croit saisir dans un regard de cette
femme
l’écho de ce qui serait lui. Déjà il se perd dans ces yeux, mais comm
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« Ton visage me cache tous les miroirs » — à une
femme
qu’il aimait. m. « Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
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sur son compte, simplement parce qu’il a aimé une
femme
, pour écrire Hypérion, et pour les gens d’ici, aimer, c’est seulement
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, et le guide désigne familièrement l’image d’une
femme
par le nom qu’elle portait au mystère de l’amour… Trois petites fenêt
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y engager chaque jour le fou au profil de vieille
femme
qui promène doucement dans cette calme Tubingue le secret d’une épouv
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s humaine, est plus divine, quand c’est une telle
femme
qui la confesse : « Celui qui entre en commerce trop étroit avec le c