1 a lectrice, car en France, paraît-il, ce sont les femmes qui lisent et qui se passionnent pour les romans. Ainsi, à force de m

2  » Ajoutons que le jardinier s’appelle Simard, sa femme Marguerite, son chien basset Pernod. Et qu’il va falloir modifier cet

3 signalé la famille d’un mineur retraité, dont la femme fait des journées. Considérant que richesse oblige — car je gagne à p

4 passages étroits. Sur les seuils, des groupes de femmes en noir jacassent pendant des heures. Des enfants en sarraus noirs jo

5 isons seulement, sur 200, ont l’eau courante. Les femmes vont avec des cruches à la fontaine qui coule son filet sur la grande

6 n furieux surgit de la maison, suivi d’une grande femme en noir. C’est la propriétaire, Madame Turc. Elle nous fait entrer. P

7 ve et d’attentions. On parle du domaine. Les deux femmes le dirigent seules depuis la mort de M. Turc. Elles ont un peu de pei

8 lons que des ouvriers honnêtes. Pensez donc, deux femmes seules ! — C’est que je suis chômeur moi-même, Madame… » Elle sourit

9 suis un « monsieur ». La fille rentre : une forte femme , environ 35 ans, un peu masculine. Elle nous conduit à la chambre de

10 Classes ». À quelle classe appartiennent ces deux femmes  ? Je résume mes renseignements : famille paysanne, de tout temps. Vie

11 4 Minuit. J’ai terminé la tâche de la journée. Ma femme dort, dans la chambre dont je vois la porte entrebâillée. Une dernièr

12 rien au monde dépend de nous. Ceci vaut pour les femmes , qui sont la part la plus civilisée de la population. Ce sont elles q

13 « travaillent le mazet », ce qui n’est rien. Les femmes vont à la filature — la dernière qui marche encore — et gagnent leurs

14 dition laïque.) L’autre jour, dans l’autocar, une femme dont j’ai cru comprendre qu’elle tient un petit hôtel à Saint-Jean-du

15 vec eux ? — Guère. Là encore, ce sont surtout les femmes qu’on voit. Eux sont au travail, ou au café. — Pourquoi n’iriez-vous

16 née une conférence au profit des vieux, hommes et femmes , âgés de 60 ans au mois de juillet 1930 29 . Tous ceux qui ne bénéfic

17 t d’Hofmannsthal, et compris mal l’intrigue de la Femme sans ombre. Je voyais une actrice parcourir la scène en hurlant : ell

18 fants dans la rue, les valets qui le servent, les femmes qu’il rencontre, surtout la lumière du jour, et même la clarté de la

19 r tout ce qu’il a, qui n’est pas lui. Ce sont les femmes , bien entendu, qui le devinent. Quel est le rapport social le plus ré

20 e Peter parvient à la cacher à tous sauf aux deux femmes qu’il voudrait épouser. Mais n’allons pas conclure trop vite. Les éta

21 sthal — contre-épreuve — décrit le tourment d’une femme stérile, l’impératrice qui a perdu son ombre et qui emprunte celle d’

22 auds, perd son ombre à force de rêver d’une jeune femme qu’il perçoit de sa fenêtre. « Mais dans les climats chauds, les chos

23 e, j’entends grincer la porte du jardin. C’est la femme de Pédenaud qui brandit un papier. J’accours : elle me tend une formu

24 re : 280 francs par mois « en comptant tout ». Sa femme fait des lessives. En été ils pêchent des palourdes et les vendent au

25 de miel, introuvables dans l’île. Pendant que ma femme lit des hebdomadaires, je vais renouer le fil de ce journal. Tout d’a

26 et l’on bénéficie de ces petites faveurs que les femmes ont toujours accordées à ceux qui commandent et disposent, ne fût-ce

27 Dieu voit tout ce qui se passe dans le monde. Nos femmes et nos serviteurs en sont persuadés comme nous : on peut apprendre de

28 s sa Réponse à Appion (I, 2) qu’un registre des «  femmes sacerdotales » (c’est-à-dire appartenant aux familles des prêtres) ét

29 Ce cochon-là » refuse, prétextant une hernie ; sa femme aussi, prétextant sa jambe « coupée ». (Bonne occasion pourtant de la

30 rie et ce relent de fauves de certains parfums de femmes , rien que pour regarder des êtres et vivre un moment auprès d’eux, le

31 cent — et sûrement ce serait bien autre chose… La femme descend sans se retourner ; l’homme déplie un journal que je n’aime p