1 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
1 u m’entends, je suis le Prince ! Et quelle est la femme égarée qui ne voudrait aimer le Prince de ces Lieux ? — Mais on m’app
2 1943, Articles divers (1941-1946). Angérone (mars 1943)
2 ouveau nous environne. Ceux qui n’aiment point la femme qu’ils viennent de posséder, leur silence meurt à cette minute du pla
3 1944, Articles divers (1941-1946). Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)
3 ntimidait : le regard sérieux de l’homme et de la femme du peuple, ce jugement précis et humain, bien plus insupportable que
4 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
4 ce bonne brute ou puits de sagesse populaire ; la femme à bijoux, comtesse de palaces ; le valet de chambre silencieux et ast
5 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
5 Il sera représenté successivement comme homme, ou femme , ou objet, ou animal, ou même abstraction, dans une suite de symboles
6 si l’absent se porte bien… On demande quant à la femme si elle est impudique. Figure. Elle représente une roue sur son axe,
6 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
7 oupe, me cède sa place, et je l’entends dire à sa femme qui attendait un peu en arrière : « Rien de nouveau, c’est toujours l
7 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
8 t parlé, et vous autres après lui, que toutes les femmes qui vont le rencontrer y pensent, épiant les plus légers mouvements q
9 il furtif j’avais remarqué mes livres, lorsque sa femme entra en nous saluant d’une mélodieuse formule hongroise. La présenta
10 erçois, et cette fois-ci non sans terreur, que la femme du banquier, elle aussi, n’a presque pas touché aux mets servis. Le d
11 cuse d’avoir à regagner sa banque : d’ailleurs sa femme me promènera dans Buda, et me fera visiter le Musée, — à ce soir ! Il
12 ique, à Berlin, que je fréquentais à l’insu de ma femme . J’étais dans un état d’exaltation extrême, à peu près incapable de d
13 in. Sur le seuil de notre villa de Zehlendorf, ma femme m’attend, grave et presque sévère. Moi, je ne pensais qu’à la situati
14 il pas un peu de son mystère si l’on songe que la femme du banquier était lectrice de romans — et sans doute de vos propres r