1 1974, Articles divers (1974-1977). Recherche pour un modèle de société européenne (février 1974)
1 que ce soit une libre décision des hommes et des femmes . Mais où s’arrêter ? quand ? et comment ? Il s’agit de déterminer un
2 1974, Articles divers (1974-1977). Surréalisme : un jeu qui dure depuis 50 ans (7-8 septembre 1974)
2 on Dieu, c’est-à-dire Marcel Duchamp. De jeunes femmes ravissantes Pour ma part, je n’ai jamais fait partie de ce groupe,
3 d’affinité élective. Plusieurs ravissantes jeunes femmes prenaient part à nos réunions, généralement vêtues de longues robes d
4 uccessivement, un objet appartenant à chacune des femmes présentes. Chaque fois, j’ai deviné à qui était l’objet. Breton était
5 » par ce genre de choses. Vous vous souveniez des femmes à qui appartenaient ces objets ? Absolument pas. On me plaçait quelqu
3 1974, Articles divers (1974-1977). Quelques-unes des choses curieuses qui me sont arrivées (1974)
6 encore ? Au fond de la salle, deux hommes et une femme attablés causent et boivent. L’un des hommes m’ayant remarqué s’écrie
4 1975, Articles divers (1974-1977). « Le sort des écrivains emprisonnés constitue un drame et un avertissement » (juin 1975)
7 puis les relations sensuelles entre l’homme et la femme . Les poètes de cette époque, les troubadours, ont inventé, eux, une f
8 te époque, les troubadours, ont inventé, eux, une femme inaccessible, une déesse pour laquelle on nourrissait un amour imposs
9 société imagine les rapports entre l’homme et la femme est un élément important de ses mœurs. Or cette façon n’a pas été mod
5 1975, Articles divers (1974-1977). Le Morgarten du xxe siècle (1975)
10 ’adjoindre à la grande majorité des hommes et des femmes qui s’étaient installés sur le camp. Ils tentaient d’exploiter une si
6 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
11 drame. (Paroles de Jésus à une prostituée ou à la femme de cinq maris : paix et pardon à cause de l’amour.) S’agirait-il d’un
12 orme d’existence spirituelle : « Maris, aimez vos femmes comme le Christ a aimé l’Église. » D’autre part, il n’hésite pas à éc
13 te des choses du monde, des moyens de plaire à sa femme  » (I Cor. vii, 32). Ainsi donc, exalté d’une part comme image de l’am
14 u’elle avait fondé à Poitiers. Ce clerc fait à la femme une place capitale qui annonce déjà la conception de la « courtoisie 
15 eption de la « courtoisie », mais il s’agit d’une femme idéalisée, objet d’une adoration mystique qui se confond bientôt avec
16 nt, dont l’ère va commencer, s’incarnera dans une Femme . La plus puissante de ces hérésies sera le catharisme, venu de l’Armé
17 luxure, fonde en 1101 à Fontevrault un couvent de femmes , bientôt célèbre parce que les plus grandes dames de France, de Breta
18 dans les cours des seigneurs du Midi — exalte la Femme , jusqu’alors négligée et méprisée ; elle la célèbre sous le nom de Da
19 le culte de l’amour vainqueur, respectueux de la femme , mais non des liens sociaux. À la « Dame des pensées » de la cortezia
20 couverte, fût-ce au septième degré, entre mari et femme . Robert le Pieux se voit contraint de répudier sa première femme, qu’
21 e Pieux se voit contraint de répudier sa première femme , qu’il aime, parce qu’elle est sa cousine au quatrième degré et qu’el
22 ait pas libre demain soir ». Elle est toujours la femme rêvée, la princesse lointaine, la fée Viviane ou la Velléda des Marty
23 allure de somnambule fasciné par le rêve de la «  femme impossible ». Mais, si débile et complexé qu’il apparaisse le plus so
24 re du sentiment, le respect quasi religieux de la femme que l’on met sur un piédestal pour mieux pouvoir se plaindre qu’elle
25 ans lendemain, cherchant en vain parmi toutes les femmes celle qui pourrait retenir son amour, quand Tristan était l’homme d’u
26 amour fatal mais dans lequel il trouvait toute la Femme . Don Juan viole toutes les règles de la cortezia et devient le héros
27 e de « passionnettes », mais bien plus souvent de femmes « prises » (comme une ville après un siège en règle). Mais ces femmes
28 omme une ville après un siège en règle). Mais ces femmes ne sont plus objets d’adoration. Elles ont leur politique, leur strat
29 ont leur politique, leur stratégie subtile. « Les femmes de ce temps n’aiment pas avec le cœur, elles aiment avec la tête », d
30 ie formule d’un donjuanisme féminin. Car c’est la femme qui rêve Don Juan, c’est le désir féminin qui crée « l’homme sans vis
31 , se vante de n’avoir laissé derrière lui que des femmes émues et heureuses. Il est vrai qu’aucune d’elles n’a publié de souve
32 violence infligée, le mépris de l’homme et de la femme et surtout de la classe « inférieure », simple objet des plaisirs du
33 ns la certitude de faire le mal. Et l’homme et la femme savent, de naissance, que dans le mal se trouve toute volupté (Fusées
7 1977, Articles divers (1974-1977). Denis de Rougemont : le retour d’un hérétique (3 octobre 1977)
34 ion, l’uniformisation et la fusion. L’homme et la femme y sont libres, ensemble, parce queav irréductibles l’un à l’autre. L’
8 1977, Articles divers (1974-1977). « Je suis un pessimiste actif » (17 octobre 1977)
35 rouve dans une tribu africaine. Le marié dit à sa femme  : « Je te vois », et réciproquement. Cela veut dire : je te vois dans
9 1977, Articles divers (1974-1977). La fonction et la structure de la ville future (décembre 1977)
36 , c’est-à-dire environ 50 000 habitants (avec les femmes , les enfants, les métèques et les esclaves). Dans les deux cas, l’ind
37 de tous, et pour que toujours plus d’hommes et de femmes , devenant plus responsables de leur ville, y soient par conséquent pl