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que ce soit une libre décision des hommes et des
femmes
. Mais où s’arrêter ? quand ? et comment ? Il s’agit de déterminer un
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on Dieu, c’est-à-dire Marcel Duchamp. De jeunes
femmes
ravissantes Pour ma part, je n’ai jamais fait partie de ce groupe,
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d’affinité élective. Plusieurs ravissantes jeunes
femmes
prenaient part à nos réunions, généralement vêtues de longues robes d
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uccessivement, un objet appartenant à chacune des
femmes
présentes. Chaque fois, j’ai deviné à qui était l’objet. Breton était
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» par ce genre de choses. Vous vous souveniez des
femmes
à qui appartenaient ces objets ? Absolument pas. On me plaçait quelqu
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encore ? Au fond de la salle, deux hommes et une
femme
attablés causent et boivent. L’un des hommes m’ayant remarqué s’écrie
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puis les relations sensuelles entre l’homme et la
femme
. Les poètes de cette époque, les troubadours, ont inventé, eux, une f
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te époque, les troubadours, ont inventé, eux, une
femme
inaccessible, une déesse pour laquelle on nourrissait un amour imposs
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société imagine les rapports entre l’homme et la
femme
est un élément important de ses mœurs. Or cette façon n’a pas été mod
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’adjoindre à la grande majorité des hommes et des
femmes
qui s’étaient installés sur le camp. Ils tentaient d’exploiter une si
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drame. (Paroles de Jésus à une prostituée ou à la
femme
de cinq maris : paix et pardon à cause de l’amour.) S’agirait-il d’un
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orme d’existence spirituelle : « Maris, aimez vos
femmes
comme le Christ a aimé l’Église. » D’autre part, il n’hésite pas à éc
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te des choses du monde, des moyens de plaire à sa
femme
» (I Cor. vii, 32). Ainsi donc, exalté d’une part comme image de l’am
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u’elle avait fondé à Poitiers. Ce clerc fait à la
femme
une place capitale qui annonce déjà la conception de la « courtoisie
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eption de la « courtoisie », mais il s’agit d’une
femme
idéalisée, objet d’une adoration mystique qui se confond bientôt avec
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nt, dont l’ère va commencer, s’incarnera dans une
Femme
. La plus puissante de ces hérésies sera le catharisme, venu de l’Armé
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luxure, fonde en 1101 à Fontevrault un couvent de
femmes
, bientôt célèbre parce que les plus grandes dames de France, de Breta
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dans les cours des seigneurs du Midi — exalte la
Femme
, jusqu’alors négligée et méprisée ; elle la célèbre sous le nom de Da
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le culte de l’amour vainqueur, respectueux de la
femme
, mais non des liens sociaux. À la « Dame des pensées » de la cortezia
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couverte, fût-ce au septième degré, entre mari et
femme
. Robert le Pieux se voit contraint de répudier sa première femme, qu’
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e Pieux se voit contraint de répudier sa première
femme
, qu’il aime, parce qu’elle est sa cousine au quatrième degré et qu’el
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ait pas libre demain soir ». Elle est toujours la
femme
rêvée, la princesse lointaine, la fée Viviane ou la Velléda des Marty
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allure de somnambule fasciné par le rêve de la «
femme
impossible ». Mais, si débile et complexé qu’il apparaisse le plus so
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re du sentiment, le respect quasi religieux de la
femme
que l’on met sur un piédestal pour mieux pouvoir se plaindre qu’elle
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ans lendemain, cherchant en vain parmi toutes les
femmes
celle qui pourrait retenir son amour, quand Tristan était l’homme d’u
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amour fatal mais dans lequel il trouvait toute la
Femme
. Don Juan viole toutes les règles de la cortezia et devient le héros
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e de « passionnettes », mais bien plus souvent de
femmes
« prises » (comme une ville après un siège en règle). Mais ces femmes
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omme une ville après un siège en règle). Mais ces
femmes
ne sont plus objets d’adoration. Elles ont leur politique, leur strat
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ont leur politique, leur stratégie subtile. « Les
femmes
de ce temps n’aiment pas avec le cœur, elles aiment avec la tête », d
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ie formule d’un donjuanisme féminin. Car c’est la
femme
qui rêve Don Juan, c’est le désir féminin qui crée « l’homme sans vis
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, se vante de n’avoir laissé derrière lui que des
femmes
émues et heureuses. Il est vrai qu’aucune d’elles n’a publié de souve
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violence infligée, le mépris de l’homme et de la
femme
et surtout de la classe « inférieure », simple objet des plaisirs du
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ns la certitude de faire le mal. Et l’homme et la
femme
savent, de naissance, que dans le mal se trouve toute volupté (Fusées
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ion, l’uniformisation et la fusion. L’homme et la
femme
y sont libres, ensemble, parce queav irréductibles l’un à l’autre. L’
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rouve dans une tribu africaine. Le marié dit à sa
femme
: « Je te vois », et réciproquement. Cela veut dire : je te vois dans
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, c’est-à-dire environ 50 000 habitants (avec les
femmes
, les enfants, les métèques et les esclaves). Dans les deux cas, l’ind
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de tous, et pour que toujours plus d’hommes et de
femmes
, devenant plus responsables de leur ville, y soient par conséquent pl