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it si noir et si laid qu’il ne pouvait trouver de
femme
. Il faisait sa demeure ordinaire dans les Enfers, et désirait, dit-on
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ez-vous pas que l’écologie est un langage que les
femmes
peuvent mieux comprendre, un mouvement au sein duquel elles pourront
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e partis traditionnelle ? J’en suis persuadé. Les
femmes
, ayant pour fonction de donner la vie, sont beaucoup plus sensibles q
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dirais même avec le mouvement de libération de la
femme
, sont l’expression. Peut-être cette vague de fond parviendra-t-elle à
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: sur les choses, sur toutes les choses, sur les
femmes
aux bras nus qui passent… » Il y a eu cette approche de la fin du mon
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elle de savoir ce que vont dire les hommes et les
femmes
une fois qu’ils auront le droit de parler. Dans les cités gigantesque
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e de potassium 40 qui coule dans les veines de la
femme
auprès de laquelle nous dormons » (déclaration du physicien Louis Lep
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eflet inversé de Tristan, homme de mille et trois
femmes
quand Tristan l’est d’une seule, il occupe la scène d’un bond quand T
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le implique la responsabilité de l’homme et de la
femme
dans la communauté. L’homme n’est pas libre s’il n’est pas responsabl
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e de potassium 40 qui coule dans les veines de la
femme
auprès de laquelle nous dormons »48. — que des « précautions sans pré
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corps mince de leur contrepoint discordant : les
femmes
, le jeu, la politique, et par-dessus tout « le travail », entendons l
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es religions, et de fiction autobiographique. Les
femmes
et le jeu furent pour lui tyranniques. Dans l’action politique et l’é
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r la religion ») ; les allusions à l’humeur de sa
femme
, Charlotte de Hardenberg, aux mauvaises nouvelles de Mme de Staël, au
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de voyage ou de fréquents déménagements. Sur les
femmes
, notes quasi quotidiennes, elles aussi, mais dans le registre sombre
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s écrits politiques. Mais, à partir de l’été, les
femmes
dominent tout : on assiste aux progrès du détachement de Mme de Staël
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er le terrain laissé en friche par la passion des
femmes
et celle du jeu. Feuilletons le journal de cette fin d’année 1813 :
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et vers une nouvelle affirmation des droits de la
femme
dans tous les domaines de la vie sociale et civique ; le souci de con
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ésistance locale, civile, civique, d’hommes et de
femmes
passionnément motivés dans la défense de leur ville, de leur village,
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ntigu à la mansarde où Jean Paulhan, seul avec sa
femme
, faisait la NRF — pour moi, tel que j’étais alors, centre absolu de