1 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Présentation du Centre européen de la culture (mars 1952)
1 (mars 1952)b Quelques milliers d’hommes et de femmes , dans chacun de nos pays, s’inquiètent pour l’avenir immédiat de l’Eu
2 ’y prendre part. Quelques milliers d’hommes et de femmes , ceux qui sont réveillés, dans chacun de nos pays. Un lien et une
2 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Contre la culture organisée (avril 1952)
3 on du café. « Ah tu étais à l’église ? lui dit sa femme . Dis-moi donc le sujet du sermon ? — Euh… le péché. — Et qu’est-ce qu
3 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Lever de rideau culturel ? (octobre 1955)
4 , monolithe de deux-cents-millions d’hommes et de femmes portant moralement l’uniforme du Kominform. Il s’agit de confronter n
4 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
5 rner le réel (par exemple : rendre la terre et la femme fécondes, les dieux et les morts favorables), on cherche à donner à l
5 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle des festivals dans la vie culturelle de l’Europe [Commentaires] (mai 1957)
6 plus étendus à un nombre croissant d’hommes et de femmes . Les problèmes de la culture, de la promotion culturelle de couches p
6 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
7 antes, et sans doute beaucoup plus occupé par les femmes qu’il ne veut le laisser entendre, mais sa carrière de « politicien p
8 écrivain dans son pays d’adoption. Retinger et sa femme furent durant ces années, les seuls Polonais à fréquenter sa maison,
9 onheur d’avoir enfin pu venir ici et montrer à ma femme et à mes fils qu’il y a quelque chose derrière moi. » « Et moi », not
10 ières fermées. Retinger installe les Conrad et sa femme dans une station de montagne, Zakopane, et décide de tenter sa chance
11 un Cafebq de la Marina où il trouverait de belles femmes nues, et seul Joseph Conrad lui fit tenir quelque argent. Comme il so
12 t, mais aussi, et peut-être d’abord, parce que la femme qu’il aimait alors vivait aux États-Unis, et qu’il espérait bien trou
13 endre la rédaction de ses Mémoires. Mais quand ma femme , à propos de projets que nous avions en commun, lui dit : « l’année p
14 ntinent. Le service comptait 3000 officiers, 2000 femmes et 300 soldats, et il fournit un « splendid job », selon le jugement
7 1965, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe et le monde [Introduction] (février 1965)
15 le monde technique, l’urbanisme, le statut de la femme en Occident et dans le tiers-monde, enfin le problème de la populatio
8 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
16 rce de l’État-nation, c’est que les hommes et les femmes d’aujourd’hui qui ont passé par l’école et croient savoir l’histoire
9 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
17 onnelles ? » Une autre fois, il me raconte que sa femme , qui est Hollandaise, donnait des leçons de solfège aux enfants d’une