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la côte Atlantique. J’allai m’y installer avec ma
femme
, au mois de novembre, et j’y restai jusqu’à l’été. L’année suivante,
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teurs, des chauffeurs d’autocars, un pasteur, une
femme
de ménage, des communistes, des propriétaires… Ce sont des êtres myst
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Ce cochon-là » refuse, prétextant une hernie ; sa
femme
aussi, prétextant sa jambe « coupée ». (Bonne occasion pourtant de la
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rie et ce relent de fauves de certains parfums de
femmes
, rien que pour regarder des êtres, et vivre un moment auprès d’eux, l
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cent — et sûrement ce serait bien autre chose… La
femme
descend sans se retourner ; l’homme déplie un journal que je n’aime p
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ons connaissance page 92. L’auteur habite avec sa
femme
une maison prêtée ; avec la maison, il y a un jardin ; au fond du jar
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rès, ces jardins suspendus où circulent de jeunes
femmes
en maillot de bain. Elles se penchent sur leurs géraniums, elles ajus
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as, deux hommes en veste de chasse et deux jeunes
femmes
très blondes boivent des whiskies, sans se déranger. Nous traversons
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maintenant remontent vers nous sans ralentir. Une
femme
en jaune, suivie d’un homme. Comme ils s’approchent, on voit qu’elle
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rtail cède et lui livre passage. C’est une grande
femme
bottée, sauvage et belle, qui mord une pomme, et son torse paraît nu
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se qui tient des verres de whisky à la main. Deux
femmes
blondes entrent et vont s’asseoir un peu à l’écart de notre groupe. U
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ement : devant nous venait d’apparaître une jeune
femme
au visage anguleux et couvert de taches de rousseur, la tête serrée d
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qui empilent du linge ; au cinquième, une grosse
femme
en peignoir qui se farde à gestes menus. Le concierge irlandais hurle
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passe jamais, voilà la vie ! Mais si ce soir une
femme
venait à moi comme le miracle que j’attends, je lui dirais : c’est un