1 ndonnés au souffle de l’Esprit. Il fait part à sa femme de cette terrible décision, et elle l’accepte au terme d’une lutte hé

2 avec certains Amis de Dieu. Lorsqu’il quitta sa femme et ses enfants, son idée n’était-elle pas de se rendre en Alsace, pou

3 lles fautes avaient donc commises ces millions de femmes et d’enfants en fuite sur les routes de France ? Nous n’avons plus qu

4 uraient en somme plus rien à dire aux hommes, aux femmes et aux enfants quant à leur existence quotidienne dans la cité et dan

5 (dont il faut préserver la possession) esclaves, femmes et bétail : on ne pouvait en tirer honnêtement ni une morale sociale