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ure est brillamment représentée par un « Torse de
femme
» de Marcel Gimond, des animaux pleins d’innocence et de drôlerie de
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pas moins pure. C’est l’histoire de la vie d’une
femme
, et de la vie d’une société aujourd’hui presque disparue, « roman-fle
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puis avec un jeune lord ; toute l’existence d’une
femme
qui ne cesse, jusqu’à sa dernière heure, d’aimer et de souffrir par s
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m’y ennuie. » Et l’on découvre soudain que cette
femme
, qui a subi sans les mettre jamais en question les exigences les plus
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terre, les pierres, le sable, la nourriture, les
femmes
, les filles, les bateaux à vapeur, même le vide qu’il avait cherché,
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tuberculose de leurs filles, les colères de leurs
femmes
, leur service militaire et ses humiliations, leur travail, leur chôma
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Marius, telle est la vérité. Mais trois ou quatre
femmes
, dans l’illusion d’être une foule et que personne peut-être ne saurai
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. 63. Il est curieux de noter que pas une seule
femme
n’apparaît dans tout le roman. 64. Je ne sais quel sort le Troisième