1 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
1 dit qu’un homme en vaut un autre, et donc qu’une femme en vaut une autre. Disposition peu favorable, il faut l’avouer, au dé
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
2 commune condition humaine, c’est à leurs yeux la femme , l’amour et le mariage. Or tous les deux se voient contraints d’y ren
3 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
3 exclure le reste de l’humanité. Quand on aime une femme et qu’on l’épouse, stipule-t-on par là une déclaration de haine à tou
4 r là une déclaration de haine à toutes les autres femmes  ?   Distinguer l’individu et la personne. — La confusion de notre vo
4 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
5 exclure le reste de l’humanité. Quand on aime une femme et qu’on l’épouse, stipule-t-on par là une déclaration de haine à tou
6 r là une déclaration de haine à toutes les autres femmes  ? » Jamais il n’a voulu parler de la « grandeur » de l’Italie, mais i
5 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
7 phénomène et de son mythe. On voit l’homme et la femme entrer dans la passion comme ils entreraient en religion. Le premier
6 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
8 era ! Cependant, tel autre en fait autant pour la femme qu’il désire, ou pour une œuvre d’art, ou pour sa drogue. Tyrannie de
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le crépuscule d’un régime (octobre 1957)
9 nts d’étuis à Leica. R. — Avez-vous entendu cette femme à l’autre table ? Elle trouve Venise « artificielle » ! A. — Je compr
8 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
10 en Dieu et surtout en Son Incarnation. Combien de femmes solitaires et trahies ont étendu leur ressentiment à l’espèce entière
9 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
11 is romans : vous regardez longuement ce visage de femme et, peu à peu, c’est un paysage, c’est un pays, c’est une société tou
12 renez votre lecture et, non, c’était vraiment une femme … Qu’est-ce que l’auteur a voulu dire ? Tout ce que nous voyons là, sa
13 onde », Ulrich conte à nouveau l’histoire de « la femme la plus merveilleuse qu’il eût croisée sur sa route » : Elle l’avait
14 rsions sociales et sexuelles » : Il rêvait d’une femme absolument inaccessible. Elle flottait devant ses yeux comme ces jour
15 être mariés, et néanmoins contents. L’homme et la femme n’y sont plus que « porteurs de germe mâle ou femelle » ou encore « p
16 x romans écrits à la première personne et par une femme , décrivant des situations quotidiennes et des sentiments normaux que
17 sessions que bien peu d’hommes et moins encore de femmes ont pu vivre aux États-Unis ; l’un raillant cruellement le way of lif
18 mal vu, mais n’en fascine que mieux l’homme et la femme du xxe siècle américain, nonobstant les progrès de l’éducation sexue
19 s, d’une société, d’un paysage de l’âme, ou d’une femme  ?) se fond dans une identité lyrique : Au fait, qu’était-elle donc p
20 Tout Autre n’est-il pas l’inaccessible, et toute femme aimée une Iseut, même si nul interdit moral ou nul tabou ne vient sym
10 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
21 dément au monde du Père, « monde des enfants, des femmes et des vieillards », monde passif, féminin, sans conflits et sans dra
11 1960, Preuves, articles (1951–1968). Les incidences du progrès sur les libertés (août 1960)
22 r pour la liberté. Chaque fois qu’un homme ou une femme en vient à constater que sa vie personnelle n’a pas de sens, la liber
12 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
23 cteur. » Non seulement il a du succès auprès des femmes , mais encore il les rend heureuses — et malheureuses ; chose étrange,
24 est convaincu que « l’expression véritable de la femme consiste en sa volonté d’être séduite… C’est pourquoi elle ne se fâch
25 mer le plus souvent qu’il le pourra, car c’est la femme qu’il aime, et dans chaque femme réelle, c’est ce qui veut être sédui
26 ra, car c’est la femme qu’il aime, et dans chaque femme réelle, c’est ce qui veut être séduit et qui ne peut l’être qu’une fo
27 conde partie des Étapes choisit d’aimer une seule femme et de l’épouser, car le mariage est cette décision qui « traduit l’ex
28 e qu’ils ne possédèrent pas. Si l’idéalité que la femme porte en elle a éveillé l’enthousiasme chez l’homme, à cette femme qu
29 le a éveillé l’enthousiasme chez l’homme, à cette femme qui l’a ainsi enthousiasmé, il aurait dû pourtant s’unir pour la vie.
30 fie donc que c’est dans un rapport négatif que la femme rend l’homme productif dans l’idéalité. Ainsi comprise, la femme entr
31 mme productif dans l’idéalité. Ainsi comprise, la femme entraîne vers la hauteur. Cet amour qui « entraîne » et transfigure
32 x chastes ont beaucoup médité sur l’amour, sur la femme et sur le mariage. Nietzsche en a certes moins longuement écrit que K
33 ’homme se trouvait à côté de l’homme et qu’aucune femme ne pouvait élever la prétention d’être pour l’homme l’objet de l’amou
34 Kierkegaard au contraire pense que c’est par la femme aimée de passion que l’homme s’élève, à condition cependant qu’il ne
35 r, violent — ainsi nous veut la sagesse. Elle est femme … » Que dit Aurore ? « Il n’y a encore d’efficace contre l’amour que c
36 à sa place dans la nature ! Non pas l’amour d’une femme “idéale” !… Au contraire, l’amour dans ce qu’il a de fatal, de cyniqu
37 ux que colère, honte et mépris. Casanova aime les femmes , Valmont ne cherche qu’à gagner des parties. C’est un des lieux commu
13 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
38 s épuisé la richesse. L’un posséda mille et trois femmes , l’autre une seule femme. Mais c’est la multiplicité qui est pauvre,
39 posséda mille et trois femmes, l’autre une seule femme . Mais c’est la multiplicité qui est pauvre, tandis que dans un être u
40 es par sa qualité d’Étranger. À la question d’une femme qu’il veut séduire : « Ah ciel ! Homme, qui es-tu ? » le Don Juan de
41 es premiers sédentaires, pillaient, prenaient les femmes , leur révélaient le plaisir dans l’acuité de l’épouvante, et fuyaient
42 n de nous à ses heures. C’est qu’il oublie qu’une femme n’est pas une pomme. Et qu’elle en voudra mortellement à celui qui ne
43 pas donné l’âme qu’il lui devait… Il a trompé la femme en elle, en abusant de son rôle divin d’animateur pour satisfaire seu
44 elà… n° 133.) 127. Henry de Montherlant, Sur les femmes . 128. Otto Rank, Don Juan, une étude sur le Double, 19-2. — À propo
14 1961, Preuves, articles (1951–1968). Pour Berlin (septembre 1961)
45 quille ! Ces deux millions et demi d’hommes et de femmes sans armes ne menacent pas la paix du peuple russe. Nous demandons à
15 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
46 euple pacifique, ce petit peuple égalitaire où la femme n’a pas le droit de vote mais « cuit à l’électricité », six siècles d
16 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
47 r que je m’entends au mieux avec tel homme, telle femme dont tout me sépare en fait, ou avec qui j’ai rompu sans retour. Ce s
48 ques poètes, des ethnographes, et quelques jeunes femmes assez fantasques qu’on eût dit nées des comédies de Shakespeare. On s
49 rk mes Personnes du Drame . Breton me dit que sa femme en ayant lu quelques chapitres, il avait vu que le livre était « dang
17 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
50 traversé la salle en procession, Churchill et sa femme conduisant. Il y avait des fleurs partout, et des fanfares dans la co