1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
1 king et un œillet, pauvre gentillesse d’une autre femme dont le seul défaut fut de m’aimer… (Froid aux genoux, odeur de vieil
2 be dure ! En ma tête rôde ton souvenir, comme une femme nue dans une chambre étroite… J’ai dormi quelques heures, d’un sommei
3 finissais par vous voir partout. Chaque visage de femme révélait soudain un trait de votre visage. Il aurait fallu courir apr
4 vait que des dames. Personne ne parlait. La jeune femme qui s’était penchée vous ressemblait tant. Mais je n’osais presque pa
5 ds angoissés, avides, implorants. Oh ! toutes les femmes que j’ai fait souffrir cette nuit d’un long regard de damné. À minuit
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
6 ent l’air. » Il prétend « traquer l’inconnu ». Sa femme l’accuse de « vouloir faire admettre que la poésie consiste à écrire
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
7 erdrait corps et biens dans sa grandeur comme une femme merveilleuse nous perdrait corps et âme dans l’ivresse amoureuse ; no
8 nos forces et séductions, comme on cherche cette femme à travers toutes les femmes. C’était un vice, la révolution-vice. Mai
9 comme on cherche cette femme à travers toutes les femmes . C’était un vice, la révolution-vice. Mais on ne vit, on ne meurt que
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
10 r comme une joue, École errait, École suivait une femme dans les rues tant soit peu métaphysiques d’une capitale de mes songe
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
11 risais trop sincèrement. » Vers cette époque, une femme me regarda longuement. » Mes parents me savaient vierge et c’était la
12 t, je ne détournai pas mes yeux des yeux de cette femme , de peur qu’elle ne souffrît à cause de moi. Un soir qu’elle pleurait
13 e, on marchait dans le bleu. Je sortis avec cette femme , qui m’aimait, et nous étions très jolis de bonheur et d’insouciance
14 e ensoleillée d’un café ; une brise passa, et une femme en robe bleue légère qui me regarda un instant, si doucement… Je me l
15 que tour du tambour des bouffées de musique. » La femme en bleu dansait en regardant au plafond. Après deux tangos, nous mont
6 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
16 ples à la mode. Mais en écrivant il pensait à une femme blonde assise près de lui. Ayant demandé un timbre pour attirer l’att
17 demandé un timbre pour attirer l’attention de la femme blonde — sans résultat —, il écrivit une adresse réelle, et mit la le
18 adressâtes une déclaration d’amour destinée à une femme blonde. Je suis noire. Mais je sais qui c’est. J’ai fait suivre. Alex
7 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
19 , mais bien Dollonne, ce qui revient au même. Une femme fatale et un grand incompris sont là. Enfin, Jean Cassou, représentan
20 uitta Naples où il habitait alors, abandonnant sa femme , et se mit à errer dans les campagnes, en quête de l’inspiration qui
8 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
21 nnette. — Lord Artur, je ne suis pas une mauvaise femme , et si vous n’étiez pas si retors, vous verriez bien que je ne suis p
22 autre. Mais les hommes comme vous aiment que les femmes soient coquettes à les faire doucement frémir de rage ; ils aiment s’
23 rbes mouillées. Lord Artur. — On dit souvent des femmes qu’elles sont naturellement païennes. Mais les peuples païens sont to
24 les païens sont toujours religieux, alors que les femmes de ce temps sont seulement sournoises. Sonnette. — Lord Artur, vous