1 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable I : « Je ne suis personne » (15 octobre 1943)
1 dait. Et ceux qui en restent aux contes de bonnes femmes , ce sont ceux qui refusent de croire au diable à cause de l’image qu’
2 s’en font, et qui est tirée des contes de bonnes femmes . Cependant la Bible dénonce l’existence du diable à chaque page, de l
2 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable III : diable et sexe (29 octobre 1943)
3 presque tout homme s’est vu tenter de prendre la femme du voisin, soit en recourant aux raisons pathétiques — « c’est vital 
3 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable V : Le tentateur (12 novembre 1943)
4 hamps que l’Éternel Dieu avait faits. Il dit à la femme  : Dieu a-t-il réellement dit : vous ne mangerez pas de tous les arbre
5 ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Ma
6 que vous n’en mouriez. Alors le serpent dit à la femme  : vous ne mourrez point. Mais Dieu sait que le jour où vous en manger
7 t voici le deuxième temps de la tentation : « La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il éta
8 t-là que Baudelaire peut écrire : « L’homme et la femme savent de naissance que dans le mal se trouve la volupté… La volupté
4 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
9 Marius, telle est la vérité. Mais trois ou quatre femmes , dans l’illusion d’être une foule, et que personne peut-être ne saura
10 rcourait le jardin vers le soir, et l’homme et sa femme se cachèrent loin de la face de l’Éternel Dieu, au milieu des arbres
11 t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé.
12 bre, et j’en ai mangé. Et l’Éternel Dieu dit à la femme  : Pourquoi as-tu fait cela ? La femme répondit : Le serpent m’a sédui
13 eu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La femme répondit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé. » (Gen. 3:8-13)