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de me trouver à côté d’une place vide : la jolie
femme
qu’on attend dans ces circonstances, une fois de plus manquait le ren
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de monde dans les rues. Des jeunes gens avec une
femme
à chaque bras, l’air de ne pas trop s’amuser. Ceci du moins n’a guère
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se pose plus. Vous le savez, je n’ai aimé qu’une
femme
— au plus deux, en y réfléchissant bien, mais peut-être était-ce la m
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a même sous deux attributs différents. Toutes les
femmes
qui m’ont retenu un instant, c’était parce qu’elles évoquaient cet am
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mprennent jamais rien, dès qu’on aime… Oh ! cette
femme
! elle n’était qu’un regard, un certain regard, mais j’ai su retrouve
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qu’elle devait les donner au hasard, à une jolie
femme
qui passerait seule. Nous nous arrêtâmes non loin, auprès d’une devan
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ui les revêtiraient. Vint à pas pressés une jeune
femme
, chapeau rouge et manteau de fourrure brune, inévitablement. Et ce qu
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passa fut, hélas, non moins inévitable : la jeune
femme
refusa d’abord les fleurs pour se donner le temps de regarder autour
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y avait plus qu’à lui prendre chacun un bras, une
femme
pour deux hommes — et ce fut bien dans cette anecdote dont Gérard att
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âillait : « Voilà ce que c’est que de prendre des
femmes
au hasard, disait-il. Je sens très bien que nous allons nous ennuyer
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chilling, dans un décor banal et imposé, avec des
femmes
qui élargissent des sourires à la mesure exacte de leur générosité. V
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te de faux luxe. La misère, c’est de voir ici des
femmes
aussi ravissantes que celle-là qui danse en robe mauve, avec tant de
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r du palais, descendaient les invités du bal. Des
femmes
sans chapeau couraient vers les voitures, les hommes s’inclinaient po
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xés intensément, à la sortie des invités, sur une
femme
qui s’en allait toute seule vers une voiture à l’écart des autres. Un
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seule vers une voiture à l’écart des autres. Une
femme
aux cheveux noirs en bandeaux, au teint pâle, l’air d’autrefois. Il a
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se fila devant moi ; je reconnus la voiture de la
femme
aux bandeaux noirs. Mais les rideaux étaient baissés. Déjà on cria
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r écouter Mozart et attendre, qui sait ? — qu’une
femme
s’appuie… Il faudrait aller au bar installé dans une petite salle où
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ter longtemps, les yeux agrandis, aux pieds d’une
femme
qui ne le regarderait pas, qui aurait l’air seulement d’écouter autre
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es cantatrices et des acteurs, des princes et des
femmes
à mourir. Et c’est là que paraît son étrange impuissance : tous ces a
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r que j’aie pu bouger, a baisé sur les lèvres une
femme
qui devient pâle et s’adosse à une colonne, — me regarde avec un repr
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ourir dans une légèreté éperdue… Mais une main de
femme
au bord du sommeil saisie me ramène aux regards. Que sont tous ces ge
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! je les hais de me voir ! Je tiens la main d’une
femme
qui tremble… Comtesse Adélaïde en soie d’aurore, voici l’heure que no
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e saisit va-t-il ainsi nous séparer ? Ce corps de
femme
défend encore sa nuit, si nu pourtant dans la soie et le velours, dan
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dis que j’observe, je n’observe rien. Il y a des
femmes
si belles qu’on en ferme les yeux. Quel style dans la liberté ! Il n’
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Hongrie (généralités) Les Allemands aiment les
femmes
comme ils aiment les saucisses ou les catastrophes, selon qu’ils sont
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ons bariolés et des secrets qui feraient peur aux
femmes
, cet Objet dont parfois, au comble de la turbulence de tes jeux, un v
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sur son compte, simplement parce qu’il a aimé une
femme
, pour écrire Hypérion, et pour les gens d’ici, aimer, c’est seulement
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, et le guide désigne familièrement l’image d’une
femme
par le nom qu’elle portait au mystère de l’amour. Trois petites fenêt
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y engager chaque jour le fou au profil de vieille
femme
qui promène doucement dans cette calme Tubingue le secret d’une épouv
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s humaine, est plus divine, quand c’est une telle
femme
qui la confesse : « Celui qui entre en commerce trop étroit avec le c
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choses est la rencontre sous un arbre noir d’une
femme
abandonnée dans sa tristesse. Par moments il y a la Lune et le visage
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r moments il y a la Lune et le visage blanc de la
femme
debout contre le tronc. (Pour moi je demeure dans l’ombre.) Quand la
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où l’on connaît profondément. Par les yeux d’une
femme
étrangère, mes yeux possédaient sans mesure tout ce que l’anxiété de
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s, lorsque au point du jour je vis pâlir la jeune
femme
. Elle comprit que j’allais parler, et mit un doigt contre mes lèvres.
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ssi la curiosité sournoise des ouvriers, des deux
femmes
qui examinent ses vêtements. Elle a quitté le château endormi pour al
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où l’on n’a plus peur d’un arbre immense, ni des
femmes
, mais de soi-même, sourdement, dans l’insomnie du petit jour populeux
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du château. Une douzaine de domestiques, homme et
femmes
, pénètrent par le fond, s’alignent debout. Les enfants sur un long ca
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T. A. Hoffmann est là, sous un nom d’emprunt. Une
femme
fatale et un grand incompris sont là. Enfin Jean Cassou, représentant
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uitta Naples où il habitait alors, abandonnant sa
femme
, et se mit à errer dans les campagnes, en quête de l’inspiration qui