1 tard, nous retrouvons Europe non plus déesse mais femme légendaire. Agénor, roi de Tyr en Phénicie, et descendant de Neptune,

2 t la terre d’en face ; leur aspect était celui de femmes . L’une avait les traits d’une étrangère ; l’autre ressemblait à une f

3 raits d’une étrangère ; l’autre ressemblait à une femme du pays ; elle s’attachait plus fort à la jeune fille, comme à sa fil

4 eura assise et silencieuse, ayant encore les deux femmes devant ses yeux ouverts ; puis enfin elle éleva une voix craintive :

5 it encore génisse et qu’elle n’avait pas forme de femme  ; vagabonde elle marchait sur les chemins de la plaine salée, comme s

6 ches, de vache cornue il transforma de nouveau en femme  ; le cours du Nil était d’argent ; la vache, de bronze ; quant à Zeus

7 ses cornes à déchirer. Tu es, sans le savoir, la femme de l’invincible Jupiter. Laisse là les sanglots, apprends à bien port

8 hommes puissent y vivre. Il prendra pour première femme l’Océanide Métis, qui est la raison ; mais il l’absorbera en soi, dan

9 ra Thémis, la justice. Plus tard, il prendra pour femme Mnémosyne, la mémoire, et il en aura les Muses. Et la dernière, Junon

10 è, c’est Zeus qui voit au loin. Eurôpè, c’est une femme aux larges yeux, au beau regard, au beau visage. La parenté d’Europe

11 a mythologie grecque, seul rescapé avec Pyrrha sa femme (grâce à l’Arche en demi-lune que Prométhée son père lui a fait const

12 our leurs maîtres, loin de leurs enfans, de leurs femmes et de leurs amis. Leurs exploits ne servent donc qu’à augmenter et à

13 donne trois noms différents, qui sont des noms de femmes . En effet, selon Strabon : Du temps d’Homère, ni l’Europe, ni l’Asi

14 pour front. D’autres la représentaient comme une femme assise. Postel, nous dit Moreri à l’article Europe, la représente ain

15 harles-Quint : « L’Espagne était la tête de cette femme  ; le col, les provinces de Languedoc et de Gascogne ; le reste de la