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la plus précise les unions des dieux et de leurs
femmes
, à des fins didactiques et religieuses. Point de méthodes secrètes ni
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’ensemble des âmes croyantes : « Maris, aimez vos
femmes
comme le Christ a aimé l’Église. » Tantôt, et plus souvent, il réduit
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qu’il est bon pour l’homme de ne point toucher de
femme
. Toutefois, pour éviter l’impudicité, que chacun ait sa femme, et que
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fois, pour éviter l’impudicité, que chacun ait sa
femme
, et que chaque femme ait son mari… Je dis cela par condescendance, je
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mpudicité, que chacun ait sa femme, et que chaque
femme
ait son mari… Je dis cela par condescendance, je n’en fais pas un ord
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te des choses du monde, des moyens de plaire à sa
femme
. » 4. Ainsi donc, exalté d’une part comme l’image de l’amour divin, m
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git-elle déjà sur l’inconscient des hommes et des
femmes
d’aujourd’hui ; mais le phénomène qui nous occupe est antérieur. Je n
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ction de la Lune sur l’océan et dans le corps des
femmes
? Mais qu’est-ce que l’âme ? Je ne prends pas le mot dans le sens nob
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les effets. Prenez un Européen cultivé — homme ou
femme
— formé par la morale bourgeoise, d’ailleurs croyant ou non, plus ou
10
is romans : vous regardez longuement ce visage de
femme
et, peu à peu, c’est un paysage, c’est un pays, c’est une société tou
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renez votre lecture et, non, c’était vraiment une
femme
… Qu’est-ce que l’auteur a voulu dire ? Tout ce que nous voyons là, sa
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nde », Ulrich conte de nouveau l’histoire de « la
femme
la plus merveilleuse qu’il eût croisée sur sa route » : « Elle l’avai
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rsions sociales et sexuelles » : Il rêvait d’une
femme
absolument inaccessible. Elle flottait devant ses yeux comme ces jour
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être mariés, et néanmoins contents. L’homme et la
femme
n’y sont plus que « porteurs de germe mâle ou femelle » ou encore « p
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x romans écrits à la première personne et par une
femme
, décrivant des situations quotidiennes et des sentiments normaux que
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sessions que bien peu d’hommes et moins encore de
femmes
ont pu vivre aux États-Unis ; l’un raillant cruellement le way of lif
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mal vu, mais n’en fascine que mieux l’homme et la
femme
du xxe siècle américain, nonobstant les progrès de l’éducation sexue
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s, d’une société, d’un paysage de l’âme, ou d’une
femme
?) se fond dans une identité lyrique : Au fait, qu’était-elle donc p
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Tout Autre n’est-il pas l’Inaccessible, et toute
femme
aimée une Iseut, même si nul interdit moral ou nul tabou ne vient sym
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commune condition humaine, c’est à leurs yeux la
femme
, l’amour et le mariage. Or tous les deux se voient contraints d’y ren
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lus loin de la nature. Voyez comme il se sert des
femmes
: incapable de les posséder, il les viole d’abord moralement pour s’i
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attrait superficiel que presque toutes les jolies
femmes
peuvent exercer sur presque tous les hommes, n’évoque pas une idée de
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rquoi ne peut-il désirer que la nouveauté dans la
femme
? Et pourquoi désire-t-on du nouveau, du nouveau à tout prix, quel qu
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goissé et cruel… S’il le trouvait, ce « type » de
femme
rêvé ! J’imagine cette métamorphose. On le voit interrompre sa course
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ajoute à ma liste des mille e tre. C’étaient les
femmes
qu’il n’avait pas eues par fidélité à la sienne. » Où est la tricheri
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teur. » « Non seulement il a du succès auprès des
femmes
, mais encore il les rend heureuses — et malheureuses ; chose étrange,
27
est convaincu que « l’expression véritable de la
femme
consiste en sa volonté d’être séduite… C’est pourquoi elle ne se fâch
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mer le plus souvent qu’il le pourra, car c’est la
femme
qu’il aime, et dans chaque femme réelle, c’est ce qui veut être sédui
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ra, car c’est la femme qu’il aime, et dans chaque
femme
réelle, c’est ce qui veut être séduit et qui ne peut l’être qu’une fo
30
onde partie des Étapes, choisit d’aimer une seule
femme
et de l’épouser, car le mariage est cette décision qui « traduit l’ex
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e qu’ils ne possédèrent pas. Si l’idéalité que la
femme
porte en elle a éveillé l’enthousiasme chez l’homme, à cette femme qu
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le a éveillé l’enthousiasme chez l’homme, à cette
femme
qui l’a ainsi enthousiasmé, il aurait dû pourtant s’unir pour la vie.
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fie donc que c’est dans un rapport négatif que la
femme
rend l’homme productif dans l’idéalité. Ainsi comprise, la femme entr
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mme productif dans l’idéalité. Ainsi comprise, la
femme
entraîne vers la hauteur. Cet amour qui « entraîne » et transfigure
35
x chastes ont beaucoup médité sur l’amour, sur la
femme
et sur le mariage. Nietzsche en a, certes, moins longuement écrit que
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’homme se trouvait à côté de l’homme et qu’aucune
femme
ne pouvait élever la prétention d’être pour l’homme l’objet de l’amou
37
» Kierkegaard au contraire pense que c’est par la
femme
aimée de passion que l’homme s’élève, à condition cependant qu’il ne
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r, violent — ainsi nous veut la sagesse. Elle est
femme
… » Que dit Aurore ? « Il n’y a encore d’efficace contre l’amour que c
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à sa place dans la nature ! Non pas l’amour d’une
femme
« idéale » !… Au contraire, l’amour dans ce qu’il a de fatal, de cyni
40
s épuisé la richesse. L’un posséda mille et trois
femmes
, l’autre une seule femme. Mais c’est la multiplicité qui est pauvre,
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posséda mille et trois femmes, l’autre une seule
femme
. Mais c’est la multiplicité qui est pauvre, tandis que dans un être u
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es par sa qualité d’Étranger. À la question d’une
femme
qu’il veut séduire : « Ah ciel ! Homme, qui es-tu ? » le Don Juan de
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es premiers sédentaires, pillaient, prenaient les
femmes
, leur révélaient le plaisir dans l’acuité de l’épouvante, et fuyaient
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n de nous à ses heures. C’est qu’il oublie qu’une
femme
n’est pas une pomme. Et qu’elle en voudra mortellement à celui qui ne
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pas donné l’âme qu’il lui devait… Il a trompé la
femme
en elle, en abusant de son rôle divin d’animateur pour satisfaire seu
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ux que colère, honte et mépris. Casanova aime les
femmes
, Valmont ne cherche qu’à gagner des parties. C’est un des lieux commu
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r-delà… n° 133). 53. H. de Montherlant : Sur les
femmes
. 54. Otto Rank : Don Juan, une étude sur le double, 1922. — À propos
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nier mot. Ce qui l’a souvent frappé chez bien des
femmes
, c’est leur manière « de s’offusquer du désir de l’homme. » Plusieurs
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« J’ai trop longtemps gardé cette illusion que la
femme
n’avait pas besoin du commerce physique, pas autant que nous… Hélas !
50
il y a faites. Tout ce qui concerne intimement sa
femme
— « le seul être, dit-il, que j’aie vraiment aimé » — tous ces passag
51
e quelques-uns de ses amis ; enfin la piété de sa
femme
. Ces données biographiques ne font point une nature. Elles expliquent
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omme un néant voluptueusement perceptible63 ». La
femme
aimée est idéale : c’est « Béatrice », c’est l’éternelle fiancée, c’e
53
Les voyages du mari et la « fragile » santé de la
femme
, les goûts de l’un et les silences de l’autre — quand un mot pouvait
54
e intime et son mariage et peut-être la vie de sa
femme
. Il en parle tantôt comme d’un destin cruel, tantôt comme de son choi
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en pressent l’épouvante, s’il vient à désirer une
femme
qu’il aime. Tout à la fin de sa vie, parlant de ses rêves, Gide remar
56
« … mais dans le rêve seulement, la figure de ma
femme
se substitue parfois, subtilement et comme mystiquement, à celle de m
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que ou motive la substitution.73 » Élevé par des
femmes
qui furent toutes, nous dit-il, « d’admirables figures chrétiennes »
58
l pu surmonter l’interdit jeté de la sorte sur la
femme
? Incapable de révoquer les données mêmes de ce drame, cherchant son
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, lorsqu’il écrit un peu plus loin, parlant de sa
femme
: « C’était son âme que j’aimais ; et cette âme, je n’y croyais pas.
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’ai confondue avec ma mère. » Notons que les deux
femmes
ne se ressemblaient en rien, ni physiquement, ni moralement. Quant au
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dément au monde du Père, « monde des enfants, des
femmes
et des vieillards », monde passif, féminin, sans conflit et sans dram
62
sse devant l’âme sa Dâenâ, son moi céleste, jeune
femme
d’une beauté resplendissante et qui lui dit : — Je suis toi-même ! Ma
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position du « ciel » sur Terre et de l’Ange en la
femme
, que l’on pourrait en pressentir l’ultime secret. (Ici, donc, toute m
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le sociale condamne radicalement l’adultère de la
femme
mariée ; mais ce n’est pas au nom de l’amour, on le pense bien). « Éc
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lupté sans mélange… Le désir du luxurieux pour la
femme
n’existe que parce qu’il voit en elle la forme de son plaisir, la sou
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ité, à quoi se rapporte l’amour d’un mari pour sa
femme
? Non point à la femme, mais en vérité au Soi qui est en elle.124 E
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l’amour d’un mari pour sa femme ? Non point à la
femme
, mais en vérité au Soi qui est en elle.124 En présence d’une telle
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tiques, ni le désir, ni « cette adoration dont la
femme
a besoin pour s’accomplir, et par ce culte que nous lui rendons, nous
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en l’absorbant. Mais que nous devenions Shiva, la
femme
est dissoute et le monde avec elle. Car le monde ne doit pas être ref
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omme personnes bien distinctes. Tu ne vois pas la
femme
que tu crois aimer. — Quand je saurai aimer le Soi en elle, je ne ser
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sentir ; mais un homme qui se connaît bien et les
femmes
surtout savent cela : une certaine perception instantanée du secret s
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on. Don Juan ne choisit pas, il désire toutes les
femmes
, et ce désir fait, de chacune, la femme en tant que sexe en général.
73
utes les femmes, et ce désir fait, de chacune, la
femme
en tant que sexe en général. (Au contraire, l’amour de Tristan faisai
74
l’amour de Tristan faisait d’une seule, élue, la
Femme
unique.) Cette forme du désir part de l’amour mais en direction du né
75
’on nous montre mangeant, buvant et célébrant les
femmes
. L’esprit entièrement refoulé (virtualisé) se voit donc provoqué au p
76
t à moi et s’il ne hait pas son père, sa mère, sa
femme
, ses enfants, ses frères, ses sœurs, et même sa propre vie, il ne peu
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prouver : Est-il permis à un homme de répudier sa
femme
pour un motif quelconque ? Il répondit : N’avez-vous pas lu que le Cr
78
e le Créateur, au commencement, fit l’homme et la
femme
et qu’il dit : C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, e
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quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa
femme
, et les deux deviendront une seule chair ? Ainsi ils ne sont plus deu
80
e. Mais moi je vous dis que quiconque regarde une
femme
pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son cœur (
81
n cœur (Matt., V, 27). On amène devant Jésus une
femme
surprise en flagrant délit d’adultère. Faut-il la lapider ? Qu’en pen
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sur la terre. Tous s’en vont. Resté seul avec la
femme
: Personne ne t’a-t-il condamnée ? Elle répondit : Non, Seigneur. Et
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a été dit (par Moïse) : Que celui qui répudie sa
femme
lui donne une lettre de divorce. Mais moi je vous dis que celui qui r
84
ce. Mais moi je vous dis que celui qui répudie sa
femme
, sauf pour cause d’infidélité, l’expose à devenir adultère, et que ce
85
e à devenir adultère, et que celui qui épouse une
femme
répudiée commet un adultère (Matt., V, 31). Sexualité et vie spiri
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., V, 31). Sexualité et vie spirituelle Une
femme
a eu sept maris. À la résurrection, duquel sera-t-elle la femme ? dem
87
t maris. À la résurrection, duquel sera-t-elle la
femme
? demandent à Jésus les sadducéens. Jésus leur répondit : les enfants
88
répondit : les enfants de ce siècle prennent des
femmes
et des maris, mais ceux qui seront trouvés dignes d’avoir part au siè
89
ir et à la résurrection des morts ne prendront ni
femmes
ni maris. Car ils ne pourront plus mourir, parce qu’ils seront sembla
90
telle est la condition de l’homme à l’égard de la
femme
(interdiction de divorcer, sauf pour cause d’infidélité), il n’est pa
91
comprendre comprenne (Matt., XIX, 10-12). Une «
femme
pécheresse », dit le récit, vient voir Jésus qui est à la table d’un
92
prophète, il connaîtrait de quelle espèce est la
femme
qui le touche et que c’est une pécheresse. Jésus lui dit : Ses nombr
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à qui on pardonne peu aime peu… Et Jésus dit à la
femme
: « Ta foi t’a sauvée, va en paix » (Luc, VII, 36-50). « Car elle a b
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Jésus, fatigué, s’arrête au bord d’un puits. Une
femme
de Samarie survient. S’engage un entretien, en termes paraboliques, s
95
nant n’est point ton mari. — Seigneur, lui dit la
femme
, je vois que tu es prophète. » Et c’est à elle que Jésus dit alors ce
96
es à des « gens de mauvaise vie » (dont plusieurs
femmes
), que les doctes lui reprochent de fréquenter de préférence ; or ce s
97
rps et du sexe, méfiance profonde à l’égard de la
femme
, besoin constant de s’humilier (« moi, l’avorton ») mais aussitôt de
98
psychiatrie. Les raisons qu’il invoque contre la
femme
relèvent d’une logique consternante131, si elles ne comportent pas un
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fie pas »… 131. Cf. I Corinthiens, II, 4-16. La
femme
doit se voiler la tête ou sinon, « c’est comme si elle était rasée… L
100
l est l’image de la gloire de Dieu, tandis que la
femme
est la gloire de l’homme. En effet, l’homme n’a pas été tiré de la fe
101
l’homme. En effet, l’homme n’a pas été tiré de la
femme
, mais la femme de l’homme… C’est pourquoi la femme, à cause des anges
102
et, l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la
femme
de l’homme… C’est pourquoi la femme, à cause des anges, doit avoir su
103
emme, mais la femme de l’homme… C’est pourquoi la
femme
, à cause des anges, doit avoir sur la tête une marque de l’autorité d
104
porter de longs cheveux, mais une gloire pour la
femme
, « parce que la chevelure lui a été donnée comme voile ». Et qui nous
105
ducation morale… Dans tout pays, coucher avec une
femme
sans l’aimer est le dernier degré de l’avilissement qu’on puisse lui
106
… pour amener l’homme à se contenter d’une seule
femme
, et pour nous donner des enfants : mais c’est la première qui est la
107
u culte rendu à la Dame (considérée non pas comme
femme
et comme personne, mais comme symbole de l’Anima) tout en échappant a