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u château. Une douzaine de domestiques, hommes et
femmes
, pénètrent par le fond, s’alignent debout. Les enfants sur un long ca
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our écouter Mozart et attendre, qui sait ? qu’une
femme
s’appuie… Il faudrait aller au bar installé dans une petite salle où
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ter longtemps, les yeux agrandis, aux pieds d’une
femme
qui ne le regarderait pas, qui aurait l’air seulement d’écouter autre
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es cantatrices et des acteurs, des princes et des
femmes
à mourir. Et c’est là que paraît son étrange impuissance : tous ces a
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r que j’aie pu bouger, a baisé sur les lèvres une
femme
qui devient pâle et s’adosse à une colonne, — me regarde avec un repr
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ourir dans une légèreté éperdue… Mais une main de
femme
au bord du sommeil saisie me ramène aux regards. Que sont tous ces ge
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! je les hais de me voir ! Je tiens la main d’une
femme
qui tremble… Comtesse Adélaïde en soie d’aurore, voici l’heure que no
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e saisit va-t-il ainsi nous séparer ? Ce corps de
femme
défend encore sa nuit, si nu pourtant dans la soie et le velours, dan
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dis que j’observe, je n’observe rien. Il y a des
femmes
si belles qu’on en ferme les yeux. Quel style dans la liberté ! Il n’
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Hongrie (généralités) Les Allemands aiment les
femmes
comme ils aiment les saucisses ou les catastrophes, selon qu’ils sont
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ons bariolés et des secrets qui feraient peur aux
femmes
, cet objet dont parfois, au comble de la turbulence de tes jeux, un v
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sur son compte, simplement parce qu’il a aimé une
femme
, pour écrire Hypérion, et pour les gens d’ici, aimer, c’est seulement
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, et le guide désigne familièrement l’image d’une
femme
par le nom qu’elle portait au mystère de l’amour. Trois petites fenêt
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y engager chaque jour le fou au profil de vieille
femme
qui promène doucement dans cette calme Tubingue le secret d’une épouv
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s humaine, est plus divine, quand c’est une telle
femme
qui la confesse : « Celui qui entre en commerce trop étroit avec le c
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choses est la rencontre sous un arbre noir d’une
femme
abandonnée dans sa tristesse. Par moments il y a la Lune et le visage
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r moments il y a la Lune et le visage blanc de la
femme
debout contre le tronc. (Pour moi je demeure dans l’ombre.) Quand la
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où l’on connaît profondément. Par les yeux d’une
femme
étrangère, mes yeux possédaient sans mesure tout ce que l’anxiété de
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s, lorsque au point du jour je vis pâlir la jeune
femme
. Elle comprit que j’allais parler, et mit un doigt contre mes lèvres.
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si la curiosité sournoise des hommes, et des deux
femmes
qui examinent ses vêtements. Elle a quitté le château endormi pour al
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où l’on n’a plus peur d’un arbre immense, ni des
femmes
, mais de soi-même sourdement, dans l’insomnie du petit jour populeux…
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èce de trappe. Nous restons seuls sur le pont, ma
femme
et moi, à entasser nos valises tant bien que mal à l’abri. Un autre é
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e, j’entends grincer la porte du jardin. C’est la
femme
de Pédenaud qui brandit un papier. J’accours : elle me tend une formu
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re : 280 francs par mois « en comptant tout ». Sa
femme
fait des lessives. En été ils pêchent des palourdes et les vendent au
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! Je n’ai pas plus tôt soufflé à l’oreille de ma
femme
« C’est un sermon ! » que l’orateur, au comble de son éloquence, s’éc
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, je vais travailler à la cuisine, pendant que ma
femme
prépare les repas. On est très bien, dans les cuisines, pour travaill
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le-ci est plus moral que matériel, d’ailleurs. Ma
femme
ne dispose que d’un vieux fourneau difficile à allumer et à entreteni
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« dames », l’une très vieille. Ce sont les seules
femmes
. Mauvais éclairage. L’orateur se hisse sur la scène : c’est un homme
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de miel, introuvables dans l’île. Pendant que ma
femme
lit des hebdomadaires, je vais renouer le fil de ce journal. Tout d’a
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s minuscules. Sur ces parcelles des hommes et des
femmes
travaillent, le buste parallèle au sol. Ces deux observations physiqu
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l’île. Dès la quarantaine déjà, les hommes et les
femmes
ont tous le corps plus ou moins déjeté. Cela provient évidemment de l
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dimentaires. Mais quand je vois ces hommes et ces
femmes
accrochés à cette terre pauvre qu’ils grattent lentement pour en tire
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et l’on bénéficie de ces petites faveurs que les
femmes
ont toujours accordées à ceux qui commandent et disposent, ne fût-ce
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déen. — Nous étions assis dans sa cuisine avec sa
femme
et ses deux enfants. C’est un homme de quarante ans, aux traits régul
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tête. Je vais chercher une bougie, je réveille ma
femme
. Nous essayons de soulever par les ailes la poule, qui fait un caquet
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t. Reste : 90 francs. Une remarque ironique de ma
femme
sur mes petits comptes, avait amené la première explosion de mauvaise
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Au bout du compte, Don Juan ne comprend rien aux
femmes
. Napoléon meurt en se trompant sur le sens de son épopée. Voilà peut-
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ue le jardinier s’appelle Simard, « Fernane », sa
femme
, Marguerite, son chien basset, Pernod. Et qu’il va falloir modifier c
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signalé la famille d’un mineur retraité, dont la
femme
fait des journées. Considérant que richesse oblige — car je gagne à p
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passages étroits. Sur les seuils, des groupes de
femmes
en noir jacassent pendant des heures. Des enfants en sarraus noirs jo
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eulement, sur deux-cents, ont l’eau courante. Les
femmes
vont avec des cruches à la fontaine qui coule son filet sur la grande
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n furieux surgit de la maison, suivi d’une grande
femme
en noir. C’est la propriétaire, Mme Turc. Elle nous fait entrer. Pour
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ve et d’attentions. On parle du domaine. Les deux
femmes
le dirigent seules depuis la mort de M. Turc. Elles ont un peu de pei
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lons que des ouvriers honnêtes. Pensez donc, deux
femmes
seules ! — C’est que je suis chômeur moi-même, madame… » Elle sourit
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suis un « monsieur ». La fille rentre : une forte
femme
, environ 35 ans, un peu masculine. Elle nous conduit à la chambre de
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asses ». — À quelle classe appartiennent ces deux
femmes
? Je résume mes renseignements : famille paysanne, de tout temps. Vie
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Minuit. J’ai terminé la tâche de la journée. Ma
femme
dort, dans la chambre dont je vois la porte entrebâillée. Une dernièr
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rien au monde dépend de nous. Ceci vaut pour les
femmes
, qui sont la part la plus civilisée de la population. Ce sont elles q
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« travaillent le mazet », ce qui n’est rien. Les
femmes
vont à la filature — une sur dix-huit marche encore — et gagnent leur
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dition laïque.) L’autre jour, dans l’autocar, une
femme
dont j’ai cru comprendre qu’elle tient un petit hôtel à Saint-Jean-du
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, elle trouve cela « joli » ; et : « Tiens, cette
femme
ressemble… à qui ressemble-t-elle donc ? ne dirait-on pas un peu Cole
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vec eux ? — Guère. Là encore, ce sont surtout les
femmes
qu’on voit. Eux sont au travail, ou au café. — Pourquoi n’iriez-vous
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s les épiceries de province où se rencontrent les
femmes
de la nation la plus raisonnable du monde. Le mari est un vieux laïca
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ise humeur singulière dont nous souffrons ici, ma
femme
et moi, et qui déjà nous a fait quitter l’île. Problème des gens : le
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comprendre… 23 février 1935 Au moment où ma
femme
allait secouer les miettes de la nappe par la fenêtre, au-dessus du p
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on public, de s’entretenir avec ces hommes et ces
femmes
pour qui l’on écrivait sans le savoir. Découverte des diversités merv
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vre que le public, c’est une série d’hommes et de
femmes
isolés, qui ont chacun leurs raisons très concrètes et singulières de
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iers devraient être classés dans la catégorie des
femmes
à barbe et des veaux à deux têtes qu’on montre aux foires. On dit que
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née une conférence au profit des vieux, hommes et
femmes
, âgés de soixante ans au mois de juillet 1930. Tous ceux qui ne bénéf
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it. Vendredi, c’était grand soleil. Et les bonnes
femmes
disaient, au seuil du temple : « Voyez-vous ça, comme tout est dérang
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seulement de la révolte. Ensuite, il faut que les
femmes
ne s’arrachent pas les cheveux dans les cuisines communes, et soient
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rie et ce relent de fauves de certains parfums de
femmes
, rien que pour regarder des êtres et vivre un moment auprès d’eux, le
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escent et sûrement ce serait bien autre chose… La
femme
descend sans se retourner ; l’homme déplie un journal que je n’aime p
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de autour de moi ces hommes en casquette et leurs
femmes
. On peut penser : ce sont des ouvriers et des petits-bourgeois. Costu
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ées, lorsqu’un groupe de jeunes gens et de jeunes
femmes
sortit à vingt pas de moi d’une porte cochère, avec une espèce d’écla
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is, des petites actrices piquantes, de toutes les
femmes
qui les imitent. Je ne compris pas leurs paroles trop rapides. Une je
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compris pas leurs paroles trop rapides. Une jeune
femme
au profil très pur, quelques gestes autour d’une auto, le claquement
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puis presque plus bouger, comprimé par une grosse
femme
à bagues qui s’est assise à côté de moi. J’abaisse mon journal : je v
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m’arriver de plus normal. À Madagascar, quand une
femme
doit accoucher, elle s’isole dans une case, parfois avec une aide, ce
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le réconforter, le mari se tord de douleur. « La
femme
a mal, dit-on, mais c’est l’homme qui souffre. » Une semaine auparava
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ant : « Oui, toi tu seras un vrai guerrier ! » Sa
femme
: « Voyons, tu es stupide de dire des choses pareilles devant des Fra
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lonté, dans la bouche d’un SA convaincu, ou de sa
femme
! Serais-je contaminé par l’optimisme de commande en ce pays ? Je me
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in, il s’agissait de l’innocente biographie d’une
femme
de bien… — Est-ce un ouvrage politique ? me demande l’employé. — Comm
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ciens du Service de Travail, de jeunes filles, de
femmes
pauvrement vêtues : ils ne disent presque rien. On se passe une lorgn
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lle hommes battent les murs de la halle. Quelques
femmes
s’évanouissent, on les emporte, et cela fait un peu de place pour res
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ion d’officier ne suffit plus à l’entretien de sa
femme
et de son enfant. Pendant les vacances universitaires, il travaille d
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d’avance pour mes voisins, Emmanuel Mounier et sa
femme
.) C’est le discours classique du chef local, anthologie de « paroles
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u bon sens. Ils me rappellent cette bonne vieille
femme
qui apportait pieusement son petit fagot au bûcher du supplice de Jea
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enfer… Les clients : demi-luxe et demi-monde. Des
femmes
qui ont voulu ressembler aux trois ou quatre types de stars en vogue.
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but, et maintenant, planante et pure, une voix de
femme
se détache… Tout d’un coup, cette ivresse ailée, tout d’un coup cette
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ecteur n’était pas satisfait de son ensemble. Une
femme
du chœur me dit : « C’est difficile de chanter ça ce soir. Les mots n
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nfermer à Marseille où il est tenu au secret. (Sa
femme
ne peut venir le voir.) Son cas est grave. Personne ne bronche — Alai
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lises et de serviettes anormalement gonflées. Une
femme
traînait un énorme filet à provisions qui semblait bien lourd pour ne
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par un ruban. — Ça, c’est du chocolat pour votre
femme
, ça, c’est des cigarettes parisiennes, pour vous. Maintenant, écoutez
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ans les rues de Berne chaque soir avec une petite
femme
à chaque bras. — À vos ordres, mon colonel ! J’ai toujours été partis
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s compromis, des ingénieurs imperturbables et des
femmes
du monde éplorées, voici qu’à mon tour je m’y engage, inclassable une
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ritifs sont interdits. Au moment de repartir, une
femme
s’approche de la portière. « Vous venez de Suisse ? dit-elle anxieuse
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oupe, me cède sa place, et je l’entends dire à sa
femme
qui attendait un peu en arrière : « Rien de nouveau, c’est toujours l
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ous roulions dans un tunnel. Dans l’ensemble, les
femmes
m’ont paru dignes de ce que le cinéma nous en promet — mais il suffit
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quatre beautés saines ou frappantes sur cinquante
femmes
qu’on ne remarque pas, pour qu’on s’écrie : « Comme elles sont belles
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ne heure du matin, le square semblait désert. Une
femme
le traversa, toute seule, à grands pas, soulevant des gerbes de papie
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chael, combien il gagne par année, et pourquoi sa
femme
le néglige. Il s’en va tout d’un coup, sans adieu ni raison, en souha
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n bar, coudoyer des hommes déformés ou épais, des
femmes
malades ou trop vernies, — Times Square après un dîner solitaire, un
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taient pas « les péchés » de ces hommes et de ces
femmes
, ni les miens, dont nul ne peut juger et qui peut-être n’en sont poin
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e of the Future. Il est d’Elisabeth Lindbergh, la
femme
du célèbre aviateur. Mrs. Lindbergh, avec un art discret et une sincé
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r la vivacité des discussions, la coquetterie des
femmes
, ou la célébrité des invités, mais par les plateaux de cocktails que
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omanciers sont plutôt journalistes. Quant à leurs
femmes
et amies, elles m’ont paru cultiver le genre des nihilistes russes d’
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arait le combat avec le démon à la lutte avec une
femme
, qui finit au lit.) — L’assomption du Mal. — Danger de l’amour, qui v
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mbrageuse, l’écrivain et musicien Paul Bowies, sa
femme
qui écrit un roman en français, un jeune compositeur anglais, Benjami
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il fallait ces musiques, ces orchidées au col des
femmes
entrevues, ces gerbes de fleurs dans les cabines où sautaient les bou
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Samba pour des messieurs en smoking blanc et des
femmes
qui chaque soir montrent une nouvelle robe, — à cette même heure en F
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un premier rang de diplomates, de marquises et de
femmes
du monde, au-delà desquels je distingue Ortega, et ce grand écrivain
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ien de plus citadin, de plus cosmopolite, que les
femmes
des estancieros, toujours si strictement vêtues de noir et blanc, et
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auf par alliances. Le divorce étant interdit, les
femmes
s’arrangent — et les maris aussi — avec un minimum d’hypocrisie qui p
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épuisera. Alors le Sud aura sa revanche, comme la
Femme
sur le monde des hommes. ⁂ Suramérique. — Ce terme pourrait désigner
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s du célèbre tyran. ( C’était lui qui forçait les
femmes
du monde de Buenos Aires à galoper sur des balais, en grande toilette
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, et des centaines de soldats tenaient chacun une
femme
et la regardaient longtemps. C’étaient ceux qu’on voyait, parce qu’on
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encore ? Au fond de la salle, deux hommes et une
femme
attablés causent et boivent. L’un des hommes m’ayant remarqué, je l’e
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urne. Je dors un peu le matin ou l’après-midi. La
femme
de ménage n’est plus venue. Suie sur les meubles, dans les tasses.
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glise Saint-Marc à l’aube froide, quelques bonnes
femmes
et un jeune homme devant le vieux prêtre anglican, dans une crypte de
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luies ouverts pendus par la poignée. « Toutes les
femmes
comprendront », ajoute-t-il, mystérieux. Kurt Seligmann a peint, sur
112
ins de deux ans. Soixante millions d’hommes et de
femmes
— près de la moitié de la population — participent à l’effort de guer
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annonçaient et l’avaient à l’avance illustrée.
Femmes
du monde à l’usine. — La nouvelle mode : une jolie femme, jeune et ri
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u monde à l’usine. — La nouvelle mode : une jolie
femme
, jeune et riche, s’engage dans une usine d’armements. On en a tant pa
115
un peu plus de souplesse aux chevilles des jeunes
femmes
; un peu plus de sourires sans raison échangés avec les passants, les
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rès, ces jardins suspendus où circulent de jeunes
femmes
en maillot de bain. L’une se penche sur ses géraniums, l’autre ajuste
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signifie en Amérique le brillant ou l’éclat d’une
femme
, d’une robe ou d’une cérémonie, tout ce qui « vous en met plein la vu
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ères de marcher et de rire qui feront d’une jeune
femme
une glamour girl. Tout cela s’enseigne dans les magazines.
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de leur dynamisme profond. Existe-t-il une seule
femme
en Europe qui dispose de moyens pareils au service d’une si ferme vis
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as, deux hommes en veste de chasse et deux jeunes
femmes
très blondes boivent des whiskies, sans se déranger. Nous traversons
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maintenant remontent vers nous sans ralentir. Une
femme
en jaune, suivie d’un homme. Comme ils s’approchent, on voit qu’elle
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rtail cède et lui livre passage. C’est une grande
femme
bottée, sauvage et belle, qui mord une pomme, et son torse paraît nu
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se qui tient des verres de whisky à la main. Deux
femmes
blondes entrent et vont s’asseoir un peu à l’écart de notre groupe. U
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ntimidait : le regard sérieux de l’homme et de la
femme
du peuple, ce jugement précis et humain, bien plus insupportable que
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Indien, juste juge, roublard, riche et pieux. Sa
femme
préside, avec un optimisme effervescent le Comité pour les étudiants
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r un avocat socialiste et sportif. La seconde est
femme
de pasteur. La cadette rêvant d’être actrice, on lui a bâti sur le So
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’est ainsi que nous avons fait connaissance. Deux
femmes
d’âge moyen et leurs maris se partagent une maison que les pins nous
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qui empilent du linge ; au cinquième, une grosse
femme
en peignoir qui se farde à gestes menus. Le concierge irlandais hurle
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sculpteur qui ne fait de statues qu’en or, est la
femme
de l’ambassadeur du Brésil à Washington. Dans une party, il y a trois
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ssé de nom, c’est sûrement un Européen. Une jeune
femme
, à plusieurs reprises, jusqu’à trois heures du matin… — Pourquoi jeun
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tes les heures. Et dans la rue, ces hurlements de
femme
, chaque soir, je ne sais jamais s’il s’agit d’une ivrogne ou d’une év
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ement : devant nous venait d’apparaître une jeune
femme
au visage anguleux et couvert de taches de rousseur, la tête serrée d
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ait plus jamais en parler. C’est un peu comme une
femme
quand on l’aime : ce que les autres en disent est banal ou méchant, e
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ut aimer un pays comme sa mère, un autre comme sa
femme
, un autre comme les femmes, un autre enfin comme une passion. L’amour
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mère, un autre comme sa femme, un autre comme les
femmes
, un autre enfin comme une passion. L’amour n’est pas encore rationné,
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r bruit de pas dans la rue. Semelles de bois. Une
femme
de ménage sort ses clés, ouvre une porte de service à côté du portail
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plus de charbon pour cet hiver ; des millions de
femmes
ont été violées dans toute l’Europe centrale et orientale, des millio