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tention, mouvement, finalité, et plan. Tout prend
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et nom, tout est personnifié. Ainsi, parler du diable ne sera pas ic
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mme, et nos vies dans ce siècle. Je pense que les
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du mythe nous guident plus sûrement que l’évidence moderne et que les
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ien que celui que Dieu offre, un bien que l’on se
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« mieux fait pour soi ». Ève ne fut pas tentée par une chose mauvaise
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yeux de notre orgueil la Création parfaite et la
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du diable. C’est plus tard, c’est après plusieurs générations de péch
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t qu’on croie cette abstraction plus vraie que la
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mythique. Le tour est subtil et requiert un peu d’astuce spirituelle,