1 nir d’un soir d’adolescence sur la prairie où des filles s’éloignent en chantant. Voici la nuit du souvenir, brève nuit d’août

2 ds point par là que la métaphysique allemande est fille de la timidité sexuelle : il est clair que, s’il y avait une filiatio

3 ce, et c’est bien ce qui vous perdra. » La pauvre fille ne comprenant pas, il y eut un moment pénible, comme il arrive lorsqu

4 t autour, frileuses dans leurs dessous roses, les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristement les lumièr

5 méprisant les occupants à lunettes. Viennent deux filles sans chapeau qui se promènent pour montrer leurs robes. Le nageur les

6 pris. Est-ce tout ? Il y a encore l’absence de la fille , élément considérable dans l’atmosphère et dans l’économie du lieu. O

7 dit sa mère, avec un clin d’œil. C’est une jolie fille potelée, qui rit, — et qui doit savoir se défendre à l’occasion, mais

8 se du ! » 10 juin 1929 Tennis avec la jolie fille au collier de perles bleues. Après la partie, où l’on s’est renvoyé a

9 ’est-ce pas, les Français sont terribles avec les filles  ? » (Je pense : comme elles sont tout de suite en fuite, de tout leur

10 rbres de son verger… pour… ? Le sais-je même ? La fille au collier bleu… Tout d’un coup le sommeil me vide les jambes. La nui

11 dues par des rosiers sauvages. Laquelle des trois filles est donc la plus jolie ? Sans doute celle qui dort dans la mansarde,

12 qu’on me laisse au regret de vos paysages, de vos filles , qu’on me laisse au remords de vous avoir quittées pour cette ville à