1 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
1 e qu’il est le contraire de la souffrance, petite fille  ! Et vos rêves composent toujours le même paysage de carte postale en
2 quand il pleut ? Sonnette. Quand j’étais petite fille , j’aimais me promener à la lisière des forêts, les jambes nues sous l
3 me une courtisane. Mais vous n’êtes qu’une petite fille .
2 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
4 nt ? L’auteur. Je demandais un jour à une petite fille pourquoi Jésus parlait en paraboles à ses disciples, sachant qu’ils n
3 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
5 qui a perdu son ombre et qui emprunte celle d’une fille du peuple. Mais Andersen, comme on pouvait s’y attendre, fait dominer
4 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
6 Tristan devant la cour d’Irlande est reçu par la fille du roi selon l’usage et l’étiquette. Siegfried et Brunehilde qui s’av