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l’une des trois-mille Océanides, « race sainte de
filles
qui, avec Apollon et les fleuves, nourrissent la jeunesse des hommes
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’ébat la troupe des songes véridiques ; alors, la
fille
encore vierge de Phoinix, Europé, qui dormait dans sa chambre à l’éta
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’attachait plus fort à la jeune fille, comme à sa
fille
, représentait qu’elle l’avait mise au jour et que seule elle avait pr
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e faisait accueil et me regardait comme sa propre
fille
. Ah ! fassent les Immortels que ce songe s’accomplisse heureusement p
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e se leva, et alla chercher ses compagnes, nobles
filles
de son âge, nées la même année qu’elle, qui plaisaient à son cœur et
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ère d’Europé, avait remis ce superbe présent à sa
fille
non mariée. L’objet était orné de beaucoup d’ouvrages d’orfèvrerie br
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ie brillant d’un vif éclat. Il y avait, en or, Io
fille
d’Inachos, dans le temps qu’elle était encore génisse et qu’elle n’av
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ronos, effleurant doucement de la main la génisse
fille
d’Inachos, qu’auprès du Nil aux sept bouches, de vache cornue, il tra
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, est un dieu-taureau qui a coutume d’enlever des
filles
sur les rives de Canaan, de Tyr et de Sidon, donc de la « Phénicie »
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ux cent villes : « Ô mon père, dit-elle, ô nom de
fille
que j’ai trahi, ô piété qu’a vaincue mon délire ! D’où suis-je venue,
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eva d’Italie ou région des Tyrrhènes, avec autres
filles
, Europe fille du roi prisonnière. Y en a qui disent, qu’il y eut une
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région des Tyrrhènes, avec autres filles, Europe
fille
du roi prisonnière. Y en a qui disent, qu’il y eut une légion de gens
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à cause de sa beauté par la ressemblance de cette
fille
ravie. Le taureau certes, par lequel ils veulent qu’Europe fût portée
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pays de Canaan, est le père de cinq fils et d’une
fille
: Europe. Cette dernière ayant été enlevée par le taureau divin (ou p
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x l’Océan sans bornes, ils soutinrent qu’Espéris,
fille
d’Atlas, — l’Atlantide — s’était effondrée dans ces eaux, où quelques
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coupables amours du roi des dieux païens et d’une
fille
de Tyr, cette ville cent fois maudite par les Prophètes.) Goropius éc
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reb, soir. d) Reste notre nom grec, celui de la
fille
d’Agénor. Ici, nous invoquerons de nouveau G. de Reynold21 : Europe
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). L’auteur de la Vie de Gertrude, parlant de la
fille
de Pépin de Landen, déclare que tout un chacun en Europe (quisnam in
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cs… abordèrent en Phénicie, à Tyr, et ravirent la
fille
du roi, Europe ; ce pouvaient être des Crétois. 10. Gonzague de Reyn
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blanc, et rappelle la blancheur tant vantée de la
fille
d’Agénor. 20. Au sujet du nom « arabe », G. Rawlinson, Notes to Hero