1 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
1 , la beauté même, « ô toi que j’eusse aimée », sa fille sans doute, fume en feuilletant un magazine. Je croyais autrefois que
2 e l’Obwald lui a dit : « Je préférerais donner ma fille à un homme de Winterthour plutôt qu’à quelqu’un du Nidwald » (demi-ca
3 datesque et mort de carnaval, vierge, paysanne ou fille à lansquenets, c’est toujours elle qui le rejoint ou qu’il poursuit d
4 ance (puis la mort après trois mois) de Sophie, «  fille de Théodore von Dostoïevski, officier en retraite, âgé de 45 ans ». L
5 lant et fougueux comme ses ancêtres, il enleva la fille d’un émigré polonais, Angélique de Kostrowitsky. « De cette liaison n