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nir d’un soir d’adolescence sur la prairie où des
filles
s’éloignent en chantant. Voici la nuit du souvenir, brève nuit d’août
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t autour, frileuses dans leurs dessous roses, les
filles
qui chantent une chanson populaire et regardent tristement les lumièr
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méprisant les occupants à lunettes. Viennent deux
filles
sans chapeau qui se promènent pour montrer leurs robes. Le nageur les
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pris. Est-ce tout ? Il y a encore l’absence de la
fille
, élément considérable dans l’atmosphère et dans l’économie du lieu. O
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dit sa mère, avec un clin d’œil. C’est une jolie
fille
potelée, qui rit, — et qui doit savoir se défendre à l’occasion, mais
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se du ! » 10 juin 1929 Tennis avec la jolie
fille
au collier de perles bleues. Après la partie, où l’on s’est renvoyé a
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’est-ce pas, les Français sont terribles avec les
filles
? » (je pense : comme elles sont tout de suite en fuite, de tout leur
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rbres de son verger… pour… ? Le sais-je même ? La
fille
au collier bleu… Tout d’un coup le sommeil me vide les jambes. La nui
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dues par des rosiers sauvages. Laquelle des trois
filles
est donc la plus jolie ? Sans doute celle qui dort dans la mansarde,
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qu’on me laisse au regret de vos paysages, de vos
filles
, qu’on me laisse au remords de vous avoir quittées pour cette ville à
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, un diplomate et historien, une alliance avec la
fille
de Corneille, et plus haut, dès le xiie siècle, de fréquents donateu
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estion : — Qu’est-ce que le style ? Catherine, la
fille
de Gide, lut sa dernière réponse : — L’originalité de mon père. Gide
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s d’un air grave, d’un air de ne pas regarder les
filles
qui passent, mais je la vois venir de loin. Elle porte un grand chape