1
tre fable grecque, mais la conduit à une heureuse
fin
. L’oncle van der Kabel vient de mourir, et devant ses sept héritiers
2
lle ou non, qu’on l’admette comme Bergson vers la
fin
de sa carrière, qu’on cherche à le camoufler comme Heidegger, ou qu’o
3
éritage, on s’accommode de la faute, on attend la
fin
de la crise, on espère recoller tant bien que mal le ménage, afin qu’
4
tres encadrées de pierre et surmontés de clochers
fins
au bulbe d’or, devant le couvent luxueux des moines anglicans, et plu
5
orat. Or je répugne à l’un autant qu’à l’autre… !
Fin
décembre 1941, 5 IV est 16th Street Trouvé un petit atelier, près de
6
heur d’écrire et de me sentir libre nuit et jour.
Fin
mars 1942 Écrit finis à six heures du matin. Église Saint-Marc à l’au
7
rs la France et retransmis de Londres par la BBC.
Fin
mai 1942 Échantillons. — Voici donc la section de langue française d
8
etc. Telles sont les petites surprises de l’exil.
Fin
juin 1942 Une journée à l’OWI.— André Breton, superbement courtois,
9
ins. « Contribuer au progrès collectif », mais la
fin
du progrès ne peut être qu’une plage, un loisir sur la plage, et nous
10
ique du Nord, depuis quelques jours… Long Island,
fin
septembre 1942 Bevin House. — Nouvelle maison à la campagne, à deux
11
’un cerveau qui ne peut plus s’arrêter de penser…
Fin
octobre 1942 Propagande et style. — Depuis que je suis à l’OWI, rédi
12
es !) Bien écrire, c’est régler ses moyens sur la
fin
que vise un écrit. Cette fin peut condamner la phrase trop « écrite »
13
er ses moyens sur la fin que vise un écrit. Cette
fin
peut condamner la phrase trop « écrite » ; ou l’exiger, selon les cas
14
d’un cœur, d’un taureau ou d’un four « banal »).
Fin
de la vie d’un Tolstoï ou d’un Goethe ; d’un Valéry et d’un Gide, par
15
ach inaperçu pendant cinquante ans.) Bevin House,
fin
octobre 1942 Dans cette maison d’il y a longtemps, semblable à celles
16
t du diable , qui devait paraître à New York à la
fin
de 1942, dans une première version. La seconde version, élargie, date
17
eurs qu’il leur plaira, officiels ou non. Et à la
fin
— car ils ne sont pas fous comme les nazis —, ils verront bien que le
18
ers un gouvernement mondial, c’est-à-dire vers la
fin
de la féodalité des États-nations. — La route est longue, bien longue
19
e ce qu’elle pourrait gagner en conscience de ses
fins
. De même pour le fédéralisme européen. Un instinct commun se formait
20
irment dans l’idée qu’on ne peut pas atteindre la
fin
, qui est l’union, par des moyens impérialistes. Ceux-ci ne peuvent co
21
uisses, de cette espèce de mouvement d’horlogerie
fine
que composent nos rouages communaux, cantonaux, fédéraux, si diversem
22
des fédéralistes, qui s’est tenu à Montreux à la
fin
du mois d’août. q. « Une Europe fédérée », Une Semaine dans le monde
23
— car les plus belles histoires du monde ont une
fin
— la faiblesse fatale de notre État : cette habitude de nous sentir e
24
t plus religieux, mais politique. L’idée que « la
fin
justifie les moyens » n’est plus jésuite, mais léniniste, mais fascis
25
me, le grand Paul Claudel, pouvait écrire vers la
fin
de cette période qu’à la question : « Si le sel perd sa saveur, avec
26
. Je pense qu’avec la guerre, cette époque a pris
fin
. Et je fonde cette croyance sur quelques faits. C’est un fait que le
27
ntre la Genèse, la Création du monde par Dieu, sa
Fin
, l’existence de l’esprit, etc., paraît close pour longtemps. C’est en
28
nt et se rouvrent ; mon oreille est plus ou moins
fine
; je m’oriente ou me désoriente… C’est une immense affaire d’amour !