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édéral et solidement constitué. Auparavant, de la
fin
du xiiie jusqu’au milieu du xixe siècle, elle n’était guère qu’une
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rment dans l’idée qu’on ne peut pas atteindre une
fin
fédérative par des moyens impérialistes. Ceux-ci ne peuvent conduire
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uisses, de cette espèce de mouvement d’horlogerie
fine
que composent nos rouages communaux, cantonaux, fédéraux, si diversem
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e crée pas contre une menace extérieure, ni à des
fins
impérialistes, mais au contraire : pour l’avantage et la survivance d
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liaire de la vie créatrice, un moyen ordonné à sa
fin
. De même, il serait néfaste et faux de considérer la centralisation,
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opéenne déclare que l’union de ses peuples a pour
fins
, d’une part, d’assurer les libertés et les responsabilités civiques à
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des hommes d’État qui les emploient. Qui veut la
fin
veut les moyens, mais personne ne saurait vouloir une fin qu’il disti
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les moyens, mais personne ne saurait vouloir une
fin
qu’il distingue mal. Et c’est pourquoi, dans le domaine qui nous occu
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être deux. L’amour dans le mariage c’est alors la
fin
de l’angoisse, c’est l’acceptation de l’autre : une vie qui m’est all
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oyenne d’un million par jour ! L’entretien a pris
fin
. Denis de Rougemont s’apprête à dédicacer quelques-uns de ses livres,
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s d’Europe, comme si ces termes étaient, à toutes
fins
utiles et grosso modo, synonymes. Cet état de confusion générale et d
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me « L’Europe et le monde » doit se tenir à Bâle (
fin
septembre 1964) sous le haut patronage du Conseil fédéral. Ainsi l’id
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contraire à notre Constitution. Ce serait même la
fin
de notre fédéralisme et de la démocratie directe, n’hésitent pas à dé
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vrir le Plateau, de Genève à Romanshorn, avant la
fin
du siècle, quand la population aura doublé. Mais que la Suisse entre
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rront affronter les grandes compétitions de cette
fin
du xxe siècle que dans la mesure où elles sauront grouper leurs auth
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uge, dans un jardin au bord de l’eau, marquait la
fin
de la première étape. Nous nous assîmes devant une collation — pain,
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instinct, nous retenions le pas. La lumière d’une
fin
d’après-midi découpait chaque détail des parois orangées qui s’élevai
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es. Un vent froid descendait des Alpes, une pluie
fine
s’établit. Tout ne fut plus, pendant des heures, qu’automatismes à pe
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ncipale. Tout dormait. La saison d’été avait pris
fin
depuis plusieurs semaines et la saison d’hiver ne s’ouvrait qu’en déc
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pratiquement infini, ou qui ne finira qu’avec la
fin
des temps. Mais la croyance en un Dieu créateur et régulateur du cosm
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e création d’un milieu artificiel, au service des
fins
propres de l’homme. II Mais ici se pose une deuxième question :
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, qui aboutit à la Materialschlacht de Verdun. La
fin
de la guerre de 14-18 voit intervenir un élément nouveau, fourni par
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ndividus dont on parle tant, peur d’une espèce de
fin
du monde qu’entraînerait la guerre atomique, et que j’avoue ne pas re
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sa réalisation par Fermi et Oppenheimer qui a mis
fin
à cette guerre le 5 août 1945, à Hiroshima. Voilà donc la technique e
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éficie des guerres, c’est elle aussi qui leur met
fin
, et aujourd’hui les freine ou même les bloque. III Ceci dit, re
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re pour la mettre au service de l’homme et de ses
fins
propres, pour surmonter la peur, la faim, le froid, la faiblesse phys
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vention n’était certes pas la mieux adaptée à ses
fins
, ni la mieux calculée pour répondre à des besoins pratiques, utilitai
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passions et de nos rêves, le moyen de nos vraies
fins
, que nous voulions ignorer, ou bien que nous avions perdu de vue ; et
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nière tout à fait concrète la question des vraies
fins
de notre vie et de la vraie nature de l’homme. Ne serait-ce pas là, p
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Au-delà des nations (1967)o La
fin
du douanier est aussi la fin de la fraude. Quelle que soit la monnaie
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tions (1967)o La fin du douanier est aussi la
fin
de la fraude. Quelle que soit la monnaie, l’achat sera fait au même c
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ution, et descendent vers leur crépuscule. Dès la
fin
du siècle dernier, Ernest Renan pouvait s’écrier dans un discours cél
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puissante campagne européenne. Or, le 11 mai, en
fin
d’après-midi, tandis que se terminait dans la Ridderzaal la séance pl
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ussi comme un chercheur et je le serai jusqu’à la
fin
de mes jours. Simplement, je ne suis pas un chercheur scientifique. J
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suffit à réfuter cette croyance. Bien sûr, dès la
fin
du siècle dernier, Ernest Renan s’était écrié dans un discours célèbr
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ions polynationales, ce ne serait pas encore « la
fin
de la Confédération », la perte de son identité et de sa vocation, ca
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eur de laquelle il n’a cessé de militer depuis la
fin
de la guerre, c’est-à-dire depuis 1946. On s’étonnera alors moins d’a
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ouvement perpétuel et dessin permanent, flot sans
fin
dans une forme arrêtée, celle des rives qu’il a formées, événement to
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sont des prises de conscience ; et il n’a d’autre
fin
que d’être parcouru. Le voilier — un schooner de vingt-deux-mètres —
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au sein de l’Être même de l’Universel, source et
fin
de toute communauté. Dans tous ces domaines d’existence, quels seront
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lire Marx, et trouvait Kierkegaard « trop long ».
Fin
d’un prestige. Puis il m’a, très généreusement, hébergé quelques sema
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enfin le 30 octobre 1910 — tout près de la vraie
fin
de ce xixe siècle qui a commencé au soir de Waterloo et qui va se te
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guerre » qui est son intention déclarée à toutes
fins
d’efficacité, c’est encore une manière d’admettre, avec les bien-pens
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lle de la paix perpétuelle, supposent toujours la
fin
de l’Histoire, du moins telle que nous l’entendons ? Il convient de
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et de réalisme. L’utopiste est celui qui voit la
fin
sans imaginer ses moyens. Mais c’est aussi celui qui fait erreur sur
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r sur l’adéquation des moyens qu’il préconise aux
fins
qu’il allègue, tel celui qui répète (se croyant réaliste) : si vis pa
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la guerre dans l’ère moderne, qu’il écrit vers la
fin
du siècle dernier. Il est difficile aujourd’hui de ne pas voir les li