1 nt, ou de gérance de la cité, en vue et au nom de fins déterminées. Gouverner c’est prévoir, dit l’adage. Mais qui prévoit 

2 n 1875 (il y a donc un peu moins de cent ans), au fin fond du Middle West, à huit miles de Detroit, le jour où un garçon de

3 ent très vite. Qu’elles parviendraient d’ici à la fin du siècle, à des altitudes irrespirables, où tout être humain dispara

4 ’est pas un phénomène nouveau, cela existait à la fin du monde hellénistique quand les villes sont devenues trop grandes. L

5 rons-nous ? Au nom de quoi ? Et en vue de quelles fins faut-il créer l’union des gens de l’Europe, tels qu’ils sont, ou tels

6 aux 24 000 centrales nucléaires nécessaires à la fin du siècle, et produisant assez de plutonium pour nous tuer tous plusi

7 t historique ni physiologique, pour rejoindre les fins dernières qui m’appellent, je ne puis pas aller par la route national

8 s’agit d’une activité jamais achevée et qui sans fin cherche sa fin, et qui la reconnaît lorsqu’elle éprouve un sentiment

9 ctivité jamais achevée et qui sans fin cherche sa fin , et qui la reconnaît lorsqu’elle éprouve un sentiment de convenance e

10 timent de convenance entre ses démarches et cette fin . Je conçois que l’on puisse n’y pas croire. Que l’on puisse nier l’ex

11 motivant tout, une recherche de l’homme et de ses fins dernières, qui « passent infiniment l’homme » selon Pascal, recherche

12 uerre. Une page du carnet intime tenu par Mounier fin 1932 me paraît bien révélatrice des causes du conflit tour à tour déc

13 rope apparaît inévitablement, non point comme une fin en soi, mais comme un moment dialectique — à vrai dire décisif du « d

14 libertés. S’unir entre groupes autonomes à seule fin d’assurer à tous une défense tout juste assez forte pour permettre à

15 et politologues qui annoncent régulièrement « la fin du fédéralisme » dès qu’une tâche nouvelle se voit attribuée, en vert

16 p — en même temps que la meilleure définition des fins qu’entend servir son art. c. « À propos de Théodore Strawinsky [pré

17 dangereux. Et on ne devra pas s’étonner si, à la fin il ne reste plus, pour s’opposer au pouvoir, que l’écrivain, ce fou !

18 — dont la télévision nous rappelait récemment la fin tragique — n’étaient pas dans la norme de l’Amérique des années 1950.

19 de remplacement de l’État-nation, ordonnées à des fins de liberté personnelle, non de puissance collective, et de communauté

20 ts, puisque leur formule même est de croître sans fin . Mais si elle ne consiste ni à fermer les usines, ni à décréter la se

21 musicale (au xiie siècle), puis théâtrale dès la fin du xvie siècle, enfin cinématographique au xxe siècle. Preuve en es

22 ne saurait s’appliquer au mariage, dont la seule fin est de donner des enfants à l’État. Certes, l’amour vrai « tend à l’e

23 s on peut citer les Carmina de l’évêque Fortunat ( fin du vie siècle) dédiés à la reine Radegonde, alors retirée au monastè

24 cette époque dans la psyché occidentale ? Dès la fin du xie siècle, des mouvements religieux hétérodoxes prolifèrent en I

25 éparation suprême dans la mort, obstacle dernier, fin du « roman ». Tel est le secret que le mythe a pour fonction, comme t

26 e et surprofits privés — absolument contraire aux fins que je défends dans toute mon œuvre, de liberté et de responsabilité

27 ueil de textes Pour l’Europe, réunis par lui à la fin de sa vie, je trouve ces mots qu’on ne saurait souhaiter plus éclaira

28 des conflits qui couvent ou se déclarent en cette fin du xxe siècle me paraissent se ramener, symboliquement mais concrète

29 s plus encore et même d’abord en connaissance des fins humaines auxquelles chaque modèle nous conduit. Deux volontés, deux f

30 munauté — locale, régionale, nationale — vers des fins choisies par un chef, un Parti, ou au contraire par l’ensemble des ci

31 le partie du réel, mais déclare une priorité, une fin à laquelle les moyens ont pour devoir de concourir. Ce qu’il faut voi

32 chances de la guerre atomique, c’est-à-dire de la fin de l’histoire humaine. Il est non moins clair que personne n’a jamais

33 e la paix : car ce choix signifie du même coup la fin de nos États-nations, liés au plutonium le bien nommé, produit du mon

34 chain. Notre problème n’est pas des moyens et des fins , car les fins seules dicteront leurs moyens. Ce qu’il faut voir, c’es

35 roblème n’est pas des moyens et des fins, car les fins seules dicteront leurs moyens. Ce qu’il faut voir, c’est que le but d

36 telois que Rousseau, bien à tort, qualifiait de «  fin , faux, fourbe et courtois », une rudesse utilitaire qui semble se méf

37 tienne-Aoste, aux débuts de notre histoire (de la fin du ixe au milieu du xie siècle) avait déjà été englobé dans le roya

38 st, pour l’État, le moyen idéal de parvenir à ses fins  ; dès que la patrie est en danger, il n’y a plus ni catholiques, ni p

39 a guerre « comme la nuée porte l’orage ». À cette fin , nos interlocuteurs s’appelaient aussi bien Blumao que Caillaux. Là-d

40 me répète souvent : « Si l’on m’apprenait que la fin du monde est pour demain, je planterais quand même un pommier. » 33

41 incident avec le pétrole ! Puis-je vous citer la fin de votre phrase de tout à l’heure sur les cataclysmes ? La voici : « 

42 survivants ne raconteront pas, faute de public : fin du récit des civilisations, fin de l’Histoire. » Ce n’est tout de mêm

43 faute de public : fin du récit des civilisations, fin de l’Histoire. » Ce n’est tout de même pas à la panne d’essence que v

44 ’État-nation et qu’il faut, pour cela, changer de fins . La fin de l’État-nation étant sa propre puissance, c’est en mettant

45 ion et qu’il faut, pour cela, changer de fins. La fin de l’État-nation étant sa propre puissance, c’est en mettant fin à ce

46 ation étant sa propre puissance, c’est en mettant fin à ce mythe de la puissance qu’on mettra fin à la tyrannie de l’État.

47 ttant fin à ce mythe de la puissance qu’on mettra fin à la tyrannie de l’État. Je précise à cet égard que je ne mets bien e

48 l’État ? Des communautés vivantes ayant d’autres fins que leur propre puissance. Un tel substitut de l’État a-t-il jamais e

49 it promettre qu’elles ne s’en serviront pas à des fins belliqueuses, mais tout le monde sait qu’on peut faire une bombe avec

50 nos vrais désirs, nos vrais besoins et les vraies fins vers lesquelles ils nous portent ». « À vous de jouer ! » lance-t-il

51 r de tous les urbanistes avancés, est arrivé à la fin de sa vie à la conclusion que la ville idéale ne doit pas dépasser 50

52 riva à exterminer six millions de juifs. Après la fin de la guerre, le remords collectif des grandes nations les poussa à e

53 urvivants ne se raconteront pas, faute de public. Fin du récit des civilisations, fin de l’Histoire. Tout le monde sait auj

54 faute de public. Fin du récit des civilisations, fin de l’Histoire. Tout le monde sait aujourd’hui que l’épuisement des so

55 eux, il faut s’efforcer de ne pas avoir à écrire FIN , mais À SUIVRE au bas de la longue histoire qui s’écrit depuis des si

56 vé et qui, en public, prêchent la croissance sans fin . Après moi le déluge, semblent-ils dire. Ils ne pensent qu’aux électi

57 ville future (décembre 1977)bi 1. Origine et fins de la ville Création de l’ère néolithique, la ville n’a guère plus

58 irer, car la gloire de Dieu l’éclaire ». Ainsi la fin de l’homme n’est pas le « retour à la Mère Nature », mais la transfig

59 ns sociologues affirmaient naguère encore qu’à la fin du siècle, quatre cinquièmes de l’humanité s’entasseraient dans des v

60 à l’échelle continentale, et elle disposait à ces fins de moyens beaucoup plus importants que le Conseil de l’Europe. L’orga

61 de la CECA. Lorsque René Pleven ranima le projet, fin 1951, on lui fit observer de divers côtés qu’une armée sans gouvernem

62 ueil de textes Pour l’Europe, réunis par lui à la fin de sa vie, je trouve ces mots qu’on ne saurait souhaiter plus éclaira

63 es personnes. J’oppose puissance et liberté comme fins de la société, et je crois que cette distinction est, aujourd’hui, dé

64 e domine absolument tout ce qui va se passer à la fin de ce siècle. S’agissant de définir le pouvoir, Jeanne Hersch n’a pas