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gligés, quoique très récents (roman russe, dès la
fin
du xixe siècle, musique russe au xxe siècle). L’Europe comme telle,
2
ue pour elle-même (concert), ni la peinture comme
fin
en soi (tableau), inventions typiques de l’Europe, n’ont jamais été n
3
s, écologiques et sociaux de l’Européen, en cette
fin
du xxe siècle. Et qu’elles sont devenues sujettes à la fois d’études
4
ps, ni physiquement ni culturellement. Mais si la
fin
suprême de toute société est la liberté des personnes, non la puissan
5
clair que la région conduit plus sûrement à cette
fin
que la fédération continentale, qui en reste cependant le moyen ou la
6
on sociale, politique et même économique de cette
fin
du xxe siècle, quelque chose de relativement anachronique. III. A
7
e des régions qui s’ouvre à nous, Européens de la
fin
du xxe siècle. Se donner comme une tâche prioritaire de « compléter
8
ervir une société, une communauté ? Quelle est sa
fin
? Est-ce que c’est la puissance ou est-ce que c’est la liberté des pe
9
personne d’autre. Mais voilà : L’aventure a pris
fin
dans la catastrophe prévue. Et devant le cadavre gisant de l’homme qu
10
nergie et à nous persuader que la croissance sans
fin
de nos besoins en énergie est désormais inévitable. Alors que chacun
11
ourrait voir — que ce qui est inévitable c’est la
fin
de l’énergie à bon marché, et la pénurie dans vingt ans du pétrole, p
12
roduction d’électricité, il faut, prévoir pour la
fin
du siècle, faute de pétrole, un manque de 50 % sur la quantité énergi
13
: « la source d’énergie la plus importante de la
fin
du xxe siècle sera dans les économies que nous ferons sur le gaspill
14
iront au mieux que 30 % de nos besoins d’ici à la
fin
du siècle. Or nous dépendons à 80 % du pétrole. Restera donc un défic
15
’énergie solaire ne sera pas compétitive avant la
fin
du siècle », nous répète-t-on. C’est faux. Des résultats sont déjà ac
16
comme Martin Luther : même si j’apprenais que la
fin
du monde est pour demain, je planterai quand même un petit pommier !
17
ge. Le livre le plus important peut-être de cette
fin
du xxe siècle. Parce qu’il indique l’avenir que nous avons à faire.
18
te énergie devrait théoriquement couvrir d’ici la
fin
du siècle 20 à 30 % de nos besoins, alors que le pétrole couvre actue
19
l s’agit de leur communauté. 9. Sans parler de la
fin
de ces fameux États-nations, où va-t-on ? Si l’on continue comme ça,
20
le faire. Et on finira bien par y arriver ! À la
fin
de mon livre, je parle de ce que j’appelle la « pédagogie des catastr
21
cial. Pourquoi la voiture servirait-elle d’autres
fins
que celle du déplacement ? Et puis, encore une fois, nous vivons dans
22
nte de l’Apocalypse de la Bible, révélation d’une
fin
dernière de l’humanité. Alors, dans ce cas, oui, je suis pessimiste,
23
is mois, que la principale source d’énergie de la
fin
du xxe siècle se puiserait d’abord dans l’arrêt du gaspillage. De là
24
ne dans des bureaux parisiens ou londoniens, à la
fin
du xixe siècle, et qui ne tiennent compte d’aucune réalité ! Un mini
25
. Sinon, il n’y aura rien du tout. Simplement une
fin
de la civilisation. Avant de quitter l’Amérique en 1947, j’ai eu un s
26
ensez-vous qu’une guerre atomique signifierait la
fin
de l’humanité ? » Il m’a dit : « Non, nous avons essayé avec quelques
27
ation des relations humaines, caractérisent notre
fin
de siècle avec ses villes ingouvernables, ses ressources naturelles q
28
Guerre mondiale devenait inévitable. Était-ce la
fin
des espérances unionistes et fédéralistes ? Ce fut tout au contraire
29
lus la protéger, notre Europe désunie marche à sa
fin
. Aucun de nos pays ne peut prétendre, seul, à une défense sérieuse de
30
Canada, de ne jamais abuser de cet avantage à des
fins
politiques, d’autant que l’URSS restera le client le plus important p
31
s nouveaux se sont proclamés souverains depuis la
fin
de la Deuxième Guerre mondiale. Du fait que tous veulent à tout prix
32
ments expédient les affaires courantes jusqu’à la
fin
de leurs mandats. Pourtant le club de Rome a mis en évidence les gran
33
avalanche (Derborence), ou enfin l’approche de la
fin
du monde (Si le Soleil ne revenait pas, Les Signes parmi nous), sa ré
34
nus qui passent… » Il y a eu cette approche de la
fin
du monde, cette condamnation de tout en bloc et d’un seul coup, cette
35
ineraient toute la terre… Oh ! nul ne souhaite la
fin
prématurée de l’espèce. Nous avons cependant atteint un seuil critiqu
36
même pour tous. La formation civique n’a d’autre
fin
que de rendre chaque individu conscient de la personne qu’il peut dev
37
e l’opération, ne pourra pas être établi avant la
fin
de nos enquêtes sur les secteurs mentionnés. IV. Développements po
38
voient bien qu’elles devraient se fédérer à cette
fin
. Qui pourrait les retenir de le faire ? Les États-nations seuls. Mais
39
e l’éthique ? L’ensemble des moyens que dicte une
fin
pour que l’on puisse la rejoindre. Seule la fin justifie les moyens,
40
e fin pour que l’on puisse la rejoindre. Seule la
fin
justifie les moyens, pour autant qu’elle est juste en soi, et qu’ils
41
estion m’a beaucoup aidé.) Quelles sont alors les
fins
du fédéralisme — comme doctrine ou plutôt comme attitude — et comment
42
s vertus civiques. 4. Le fédéralisme n’a pas pour
fin
la puissance collective, celle des États, qui dicterait comme vertus
43
la centralisation physique et morale. Il a pour
fin
, tout au contraire, la liberté des personnes et la réalisation de leu
44
tous les temps : « Dieu », l’Absolu, le Sens, la
Fin
dernière — qui ne peut pas ne pas exister, dès lors que l’homme est a
45
les de vie en société qui favorisent le mieux les
fins
de la personne sont les formes et les formules de communauté fédérali
46
tonomie. C’est fédérer, c’est-à-dire indiquer des
fins
communes à des unités autonomes, — ces fins pouvant d’ailleurs être à
47
r des fins communes à des unités autonomes, — ces
fins
pouvant d’ailleurs être à court ou long terme, mais devant être orien
48
mais devant être orientées constamment vers cette
fin
dernière de l’État séculier, qui est la liberté des personnes. 23.
49
le sentir en Occident ? Et l’apport slave dès la
fin
du xixe siècle ? L’étrange homme européen L’unité de la cultur
50
spèce. L’érotisme est le plaisir sexuel pris pour
fin
en soi, non comme moyen de l’acte procréateur. La passion amoureuse e
51
xte un individu fini et mortel. Et l’amour est la
fin
suprême, l’accomplissement de la personne totale dans le don. Quand o
52
scrit dans le cours normal de l’histoire en cette
fin
de xxe siècle : si l’Europe ne se fait pas, nous allons à la catastr
53
pour les Américains d’user de cet avantage à des
fins
politiques, d’autant plus que l’URSS restera leur client le plus impo
54
s auxquels nous nous trouvons confrontés en cette
fin
de vingtième siècle. Ce n’est pas la solution magique, mais c’est la
55
’économie, mais l’économie ne peut constituer une
fin
en soi, elle n’est qu’un moyen. Au contraire il faut adapter l’économ
56
ue : dans le journal de mes années new-yorkaises (
fin
1940-1947), à la fin de la description d’une journée à l’Office of Wa
57
de mes années new-yorkaises (fin 1940-1947), à la
fin
de la description d’une journée à l’Office of War Information (où j’é
58
rouve la première mention de « St Ex » en date de
fin
mai 1942. « Huit heures et demie. L’équipe de nuit s’installe sans br
59
raison de vivre » d’une Suisse libre. Débat sans
fin
et que l’Histoire ne tranchera pas, malgré le cliché : car il s’agit
60
ucoup pour le revoir.) Northport, Long Island,
fin
septembre 1942 Bevin House. — Nouvelle maison à la campagne, à de
61
es châteaux au fond de nos mémoires. New York,
fin
février 1943 Depuis que nous habitons à cent mètres les uns des au
62
ont les Latins étaient les représentants les plus
fins
et subtils. Et en effet, si l’on se reporte au Brockhaus, équivalent
63
3. Définitions opérationnelles À partir de la
fin
de la Deuxième Guerre mondiale, le terme de culture commence à prendr
64
ion (pour ne pas dire la fabrication délibérée, à
fins
de propagande) d’une culture européenne qui ne serait qu’une manière
65
s’accélèrent sans relâche. C’est la question des
fins
dernières de « la culture » qui se pose alors, par quoi sommes-nous a
66
irons évidemment le modèle qui correspond à cette
fin
, celui qui conduit à l’autonomie des personnes et des groupes. Que si
67
vos bagages ? — Oui, bien sûr, me dit-il avec un
fin
sourire, car avant tout, je dois défendre mon autonomie. Autre sens a
68
aujourd’hui dépassée. Le grand problème de cette
fin
du xxe siècle est celui de la décentralisation, dans l’industrie com
69
finalement des personnes, sera le grand mot de la
fin
du siècle et du commencement du prochain. Le problème institutionnel
70
ayonnement, qui restera mortel longtemps après la
fin
de l’histoire humaine. Tel est le choix que notre génération doit fai
71
nt en force, solidement alliée au travail, dès la
fin
de 1813, avec l’idée d’écrire L’Esprit de conquête. 1814. Intrigues p
72
et celle du jeu. Feuilletons le journal de cette
fin
d’année 1813 : 13 octobre. Quelques vers. Je voudrais écrire quelqu
73
as qu’il y ait rien à faire. 5 mai. Visites sans
fin
chez moi. (Les 9 et 24 mai, le Journal des débats publie deux articl
74
nnaissait depuis près de vingt ans, et jusqu’à la
fin
des Cent-Jours, un prénom reviendra dans toutes les notes quotidienne
75
entait et sa fatigue augmentait son émotion. À la
fin
, il ne put la contenir et il éclata en sanglots ; la contagion gagna
76
politiciens de son bord, ceux dont il parle à la
fin
des Cent-Jours : 21 juin 1815. L’empereur m’a fait demander. Il est
77
ur et pour le pire, dans sa genèse comme dans ses
fins
, l’État-nation est lié à la guerre, mieux : il est l’état de guerre e
78
quête écrit et composé entre le 25 novembre et la
fin
décembre 1813. La seconde partie, De l’usurpation, sera écrite et com
79
issant sans cesse librement, qui s’étendrait à la
fin
à tous les peuples de la terre ». Pour Hegel, une génération plus tar
80
génération plus tard, l’Europe est vraiment « la
fin
de l’Histoire dont l’Asie est le commencement ». Elle est le lieu où
81
’angoisse, durant mes années d’exil américain, de
fin
1940 à 1946. Mais à mon premier retour en Europe, en 1946, ce que je
82
ts », qu’elle est « au plus bas », que « c’est la
fin
» et que nous voici tous « enchaînés, humiliés, malades de peur ». Jo
83
écrit que la grande question qui se poserait à la
fin
du siècle est de savoir s’il y a quelque chose que l’homme puisse fai
84
les manifestations prévues à Creys-Malville pour
fin
juillet. Ce qui hantait Kowarski, c’était le sentiment d’une polarisa
85
e santé imposait à son action. Il hésitait encore
fin
juillet. Puis il y eut l’affrontement du 31 juillet, la mort du jeune
86
environs de 1970. Ces années charnières ont vu la
fin
de l’après-guerre, de la reconstruction, et de l’élan économique qui
87
nature, plutôt que cherchant à la subjuguer ; la
fin
des illusions sur l’énergie quasi gratuite et un début de dénonciatio
88
cle, jusqu’ici. S’il est vrai qu’il commence à la
fin
du xixe , il faut donc situer sa naissance entre 1914 et 1918. Le xix
89
nconscient et celle des abîmes infra-atomiques…
Fin
du nouveau printemps La Deuxième Guerre mondiale mettra fin brusqu
90
u printemps La Deuxième Guerre mondiale mettra
fin
brusquement à ce nouveau printemps de l’esprit européen. Ce qui va se
91
e leurs satellites. Et de Dada, qui se voulait la
fin
de l’art bourgeois, sont issues les plaisanteries dites « métaphysiqu
92
me période du xxe siècle me paraissent être : la
fin
de la « gratuité » et de l’art pour l’art ; la dénonciation de l’absu
93
enue spectacle — le théâtre « vécu par tous ». La
fin
de cette deuxième époque du xxe siècle sera marquée non seulement pa
94
s hebdomadaires français qui dressaient, en cette
fin
de 1979, un bilan culturel de la décennie écoulée. C’est ainsi que je
95
pollutions et ses centrales nucléaires. Avant la
fin
du siècle, l’Iran devait devenir la cinquième puissance industrielle
96
ils ne savaient plus comment la satisfaire. À la
fin
, ils lui demandèrent : « Qu’as-tu ? » Elle dit : « J’ai faim ». Ils l
97
pire dénoncées comme autant de trahisons de leurs
fins
alléguées. (Distributions de vivres à une population immédiatement ré
98
vante, brillante et jargonnante, qui se moque des
fins
(survie d’abord, puis Vie développée vers le Sens), et ne tient compt
99
sans nul souci de vraisemblance, qu’elle va sans
fin
doubler tous les sept ou dix ans, on déclare nécessaires des réacteur
100
bitant de notre globe aura diminué de moitié à la
fin
du siècle. Six cents millions d’hectares de terre cultivable auront é
101
ys-Bas est déjà bétonné, et ce sera 25 % avant la
fin
du siècle. À quoi serviront les autoroutes quand l’essence coûtera vi
102
non plus n’est pas terrestre : elles attendent la
fin
des temps. Et cependant, elles constituent bel et bien les germes d’u
103
Et maintenant nous voici dans le drame de cette
fin
du xxe siècle. Nous constatons que le conflit en cours est insoluble
104
it la seule Internationale en opération, en cette
fin
du xxe siècle, les Internationales idéologiques et politiques s’étan
105
lle-même ne relève pas de la divination, mais des
fins
qui aimantent notre action. À partir de nos fins, calculons. Toute
106
fins qui aimantent notre action. À partir de nos
fins
, calculons. Toute autre voie, méthode ou martingale conduit nécessai
107
sur l’essentiel : sur l’homme, ses besoins et ses
fins
, qui ne sont pas du tout le profit des États, le prestige national, l
108
ie du monde sur l’autre, ni même l’élévation sans
fin
du PNB, objectif proprement délirant de la plupart de nos ministres —
109
livre : Avant toute chose, il faut considérer la
fin
. Car la technologie n’innove pas selon la loi des choses, domaine du
110
orts technico-industriels, en l’absence de toutes
fins
avouables ou simplement imaginées. ⁂ L’Avenir n’est plus ce qu’il ét
111
ré par l’idée d’une guerre atomique qui serait la
fin
de l’humanité, en tout cas de l’humanité civilisée. Rien n’est plus m
112
smos. L’homme industriel contribue à accélérer la
fin
du monde en augmentant l’entropie, le gaspillage et la dégradation de
113
tale, projet fondamental, le grand problème de la
fin
du siècle… Demain, l’Europe Si la France évoluait très sensible
114
onds et à les évaluer globalement par rapport aux
fins
dernières de l’homme. C’est pourquoi je suggère d’envisager le problè
115
métaphysique, devenu surtout politique depuis la
fin
du xviiie siècle français, peut être vue de deux manières contradict
116
agesse morale et spirituelle, qui est le sens des
fins
dernières auxquelles doivent s’ordonner nos moyens. Principe de base
117
ême temps les pouvoirs de l’esprit au service des
fins
dernières de la personne, donc de sa liberté d’obéir à sa vocation pa
118
iginalité ont permis leur utilisation (sic) à des
fins
pratiques. » Les partisans de l’école sans maîtres nous assurent qu’e
119
ité, et à les évaluer globalement par rapport aux
fins
dernières de l’homme. Je me propose d’envisager l’informatique non pa
120
métaphysique, devenu surtout politique depuis la
fin
du xviiie siècle français, peut être vue de deux manières contradict
121
agesse morale et spirituelle, qui est le sens des
fins
dernières auxquelles doivent s’ordonner nos moyens. Principe de base
122
ême temps les pouvoirs de l’esprit au service des
fins
dernières de la personne, donc de sa liberté d’obéir à sa vocation pa
123
iginalité ont permis leur (sic) utilisation à des
fins
pratiques. » Les partisans de l’école sans maîtres nous assurent qu’e