1 1978, Articles divers (1978-1981). L’Europe est une culture commune (1978)
1 gligés, quoique très récents (roman russe, dès la fin du xixe siècle, musique russe au xxe siècle). L’Europe comme telle,
2 ue pour elle-même (concert), ni la peinture comme fin en soi (tableau), inventions typiques de l’Europe, n’ont jamais été n
2 1978, Articles divers (1978-1981). Le Jura libre à l’heure des régions (1978)
3 s, écologiques et sociaux de l’Européen, en cette fin du xxe siècle. Et qu’elles sont devenues sujettes à la fois d’études
4 ps, ni physiquement ni culturellement. Mais si la fin suprême de toute société est la liberté des personnes, non la puissan
5 clair que la région conduit plus sûrement à cette fin que la fédération continentale, qui en reste cependant le moyen ou la
6 on sociale, politique et même économique de cette fin du xxe siècle, quelque chose de relativement anachronique. III. A
7 e des régions qui s’ouvre à nous, Européens de la fin du xxe siècle. Se donner comme une tâche prioritaire de « compléter 
3 1978, Articles divers (1978-1981). Dépolitiser la politique (janvier 1978)
8 ervir une société, une communauté ? Quelle est sa fin  ? Est-ce que c’est la puissance ou est-ce que c’est la liberté des pe
4 1978, Articles divers (1978-1981). Le diable en Suisse (1er janvier 1978)
9 personne d’autre. Mais voilà : L’aventure a pris fin dans la catastrophe prévue. Et devant le cadavre gisant de l’homme qu
10 nergie et à nous persuader que la croissance sans fin de nos besoins en énergie est désormais inévitable. Alors que chacun
11 ourrait voir — que ce qui est inévitable c’est la fin de l’énergie à bon marché, et la pénurie dans vingt ans du pétrole, p
12 roduction d’électricité, il faut, prévoir pour la fin du siècle, faute de pétrole, un manque de 50 % sur la quantité énergi
5 1978, Articles divers (1978-1981). Un autre avenir pour la planète (février 1978)
13  : « la source d’énergie la plus importante de la fin du xxe siècle sera dans les économies que nous ferons sur le gaspill
14 iront au mieux que 30 % de nos besoins d’ici à la fin du siècle. Or nous dépendons à 80 % du pétrole. Restera donc un défic
15 ’énergie solaire ne sera pas compétitive avant la fin du siècle », nous répète-t-on. C’est faux. Des résultats sont déjà ac
16 comme Martin Luther : même si j’apprenais que la fin du monde est pour demain, je planterai quand même un petit pommier !
17 ge. Le livre le plus important peut-être de cette fin du xxe siècle. Parce qu’il indique l’avenir que nous avons à faire. 
6 1978, Articles divers (1978-1981). 20 questions à Denis de Rougemont (22 février 1978)
18 te énergie devrait théoriquement couvrir d’ici la fin du siècle 20 à 30 % de nos besoins, alors que le pétrole couvre actue
19 l s’agit de leur communauté. 9. Sans parler de la fin de ces fameux États-nations, où va-t-on ? Si l’on continue comme ça,
20 le faire. Et on finira bien par y arriver ! À la fin de mon livre, je parle de ce que j’appelle la « pédagogie des catastr
7 1978, Articles divers (1978-1981). « Que fera-t-on quand l’essence coûtera 25 fr. le litre ? » (22 février 1978)
21 cial. Pourquoi la voiture servirait-elle d’autres fins que celle du déplacement ? Et puis, encore une fois, nous vivons dans
8 1978, Articles divers (1978-1981). L’Avenir est notre affaire ou la méditation apocalyptique d’un optimiste (février-mars 1978)
22 nte de l’Apocalypse de la Bible, révélation d’une fin dernière de l’humanité. Alors, dans ce cas, oui, je suis pessimiste,
23 is mois, que la principale source d’énergie de la fin du xxe siècle se puiserait d’abord dans l’arrêt du gaspillage. De là
24 ne dans des bureaux parisiens ou londoniens, à la fin du xixe siècle, et qui ne tiennent compte d’aucune réalité ! Un mini
25 . Sinon, il n’y aura rien du tout. Simplement une fin de la civilisation. Avant de quitter l’Amérique en 1947, j’ai eu un s
26 ensez-vous qu’une guerre atomique signifierait la fin de l’humanité ? » Il m’a dit : « Non, nous avons essayé avec quelques
27 ation des relations humaines, caractérisent notre fin de siècle avec ses villes ingouvernables, ses ressources naturelles q
9 1978, Articles divers (1978-1981). De l’Europe des États coalisés à l’Europe des peuples fédérés (mai 1978)
28 Guerre mondiale devenait inévitable. Était-ce la fin des espérances unionistes et fédéralistes ? Ce fut tout au contraire
29 lus la protéger, notre Europe désunie marche à sa fin . Aucun de nos pays ne peut prétendre, seul, à une défense sérieuse de
30 Canada, de ne jamais abuser de cet avantage à des fins politiques, d’autant que l’URSS restera le client le plus important p
31 s nouveaux se sont proclamés souverains depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Du fait que tous veulent à tout prix
10 1978, Articles divers (1978-1981). Pleine page sur Denis de Rougemont (14-15 mai 1978)
32 ments expédient les affaires courantes jusqu’à la fin de leurs mandats. Pourtant le club de Rome a mis en évidence les gran
11 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
33 avalanche (Derborence), ou enfin l’approche de la fin du monde (Si le Soleil ne revenait pas, Les Signes parmi nous), sa ré
34 nus qui passent… » Il y a eu cette approche de la fin du monde, cette condamnation de tout en bloc et d’un seul coup, cette
12 1978, Articles divers (1978-1981). L’amour, pas la guerre (19-25 octobre 1978)
35 ineraient toute la terre… Oh ! nul ne souhaite la fin prématurée de l’espèce. Nous avons cependant atteint un seuil critiqu
13 1978, Articles divers (1978-1981). Dialogue-interview avec Denis de Rougemont (novembre 1978)
36 même pour tous. La formation civique n’a d’autre fin que de rendre chaque individu conscient de la personne qu’il peut dev
14 1979, Articles divers (1978-1981). Hypothèses directrices pour la recherche d’un modèle de région transfrontalière (1979)
37 e l’opération, ne pourra pas être établi avant la fin de nos enquêtes sur les secteurs mentionnés. IV. Développements po
15 1979, Articles divers (1978-1981). Formule d’une Europe parallèle ou rêverie d’un fédéraliste libertaire (1979)
38 voient bien qu’elles devraient se fédérer à cette fin . Qui pourrait les retenir de le faire ? Les États-nations seuls. Mais
16 1979, Articles divers (1978-1981). Notes pour une éthique du fédéralisme (1979)
39 e l’éthique ? L’ensemble des moyens que dicte une fin pour que l’on puisse la rejoindre. Seule la fin justifie les moyens,
40 e fin pour que l’on puisse la rejoindre. Seule la fin justifie les moyens, pour autant qu’elle est juste en soi, et qu’ils
41 estion m’a beaucoup aidé.) Quelles sont alors les fins du fédéralisme — comme doctrine ou plutôt comme attitude — et comment
42 s vertus civiques. 4. Le fédéralisme n’a pas pour fin la puissance collective, celle des États, qui dicterait comme vertus
43 la centralisation physique et morale. Il a pour fin , tout au contraire, la liberté des personnes et la réalisation de leu
44 tous les temps : « Dieu », l’Absolu, le Sens, la Fin dernière — qui ne peut pas ne pas exister, dès lors que l’homme est a
45 les de vie en société qui favorisent le mieux les fins de la personne sont les formes et les formules de communauté fédérali
46 tonomie. C’est fédérer, c’est-à-dire indiquer des fins communes à des unités autonomes, — ces fins pouvant d’ailleurs être à
47 r des fins communes à des unités autonomes, — ces fins pouvant d’ailleurs être à court ou long terme, mais devant être orien
48 mais devant être orientées constamment vers cette fin dernière de l’État séculier, qui est la liberté des personnes. 23.
17 1979, Articles divers (1978-1981). Un foyer de culture (janvier 1979)
49 le sentir en Occident ? Et l’apport slave dès la fin du xixe siècle ? L’étrange homme européen L’unité de la cultur
18 1979, Articles divers (1978-1981). Cet amour qui nous rendrait la liberté (mars 1979)
50 spèce. L’érotisme est le plaisir sexuel pris pour fin en soi, non comme moyen de l’acte procréateur. La passion amoureuse e
51 xte un individu fini et mortel. Et l’amour est la fin suprême, l’accomplissement de la personne totale dans le don. Quand o
19 1979, Articles divers (1978-1981). « Nous subsisterons unis, ou nous périrons séparés ! » (avril-mai 1979)
52 scrit dans le cours normal de l’histoire en cette fin de xxe siècle : si l’Europe ne se fait pas, nous allons à la catastr
53 pour les Américains d’user de cet avantage à des fins politiques, d’autant plus que l’URSS restera leur client le plus impo
54 s auxquels nous nous trouvons confrontés en cette fin de vingtième siècle. Ce n’est pas la solution magique, mais c’est la
20 1979, Articles divers (1978-1981). Denis de Rougemont, ou l’Europe contre l’Europe (30 mai 1979)
55 ’économie, mais l’économie ne peut constituer une fin en soi, elle n’est qu’un moyen. Au contraire il faut adapter l’économ
21 1979, Articles divers (1978-1981). « La qualité des choses que j’aime » (18 octobre 1979)
56 ue : dans le journal de mes années new-yorkaises ( fin 1940-1947), à la fin de la description d’une journée à l’Office of Wa
57 de mes années new-yorkaises (fin 1940-1947), à la fin de la description d’une journée à l’Office of War Information (où j’é
58 rouve la première mention de « St Ex » en date de fin mai 1942. « Huit heures et demie. L’équipe de nuit s’installe sans br
59  raison de vivre » d’une Suisse libre. Débat sans fin et que l’Histoire ne tranchera pas, malgré le cliché : car il s’agit
60 ucoup pour le revoir.) Northport, Long Island, fin septembre 1942 Bevin House. — Nouvelle maison à la campagne, à de
61 es châteaux au fond de nos mémoires. New York, fin février 1943 Depuis que nous habitons à cent mètres les uns des au
22 1979, Articles divers (1978-1981). Considérations sur une charte culturelle européenne : mémorandum (17 décembre 1979)
62 ont les Latins étaient les représentants les plus fins et subtils. Et en effet, si l’on se reporte au Brockhaus, équivalent
63 3. Définitions opérationnelles À partir de la fin de la Deuxième Guerre mondiale, le terme de culture commence à prendr
64 ion (pour ne pas dire la fabrication délibérée, à fins de propagande) d’une culture européenne qui ne serait qu’une manière
65 s’accélèrent sans relâche. C’est la question des fins dernières de « la culture » qui se pose alors, par quoi sommes-nous a
23 1980, Articles divers (1978-1981). Énergie solaire et autonomie (1980)
66 irons évidemment le modèle qui correspond à cette fin , celui qui conduit à l’autonomie des personnes et des groupes. Que si
67 vos bagages ? — Oui, bien sûr, me dit-il avec un fin sourire, car avant tout, je dois défendre mon autonomie. Autre sens a
68 aujourd’hui dépassée. Le grand problème de cette fin du xxe siècle est celui de la décentralisation, dans l’industrie com
69 finalement des personnes, sera le grand mot de la fin du siècle et du commencement du prochain. Le problème institutionnel
70 ayonnement, qui restera mortel longtemps après la fin de l’histoire humaine. Tel est le choix que notre génération doit fai
24 1980, Articles divers (1978-1981). Actualité de Benjamin Constant (1980)
71 nt en force, solidement alliée au travail, dès la fin de 1813, avec l’idée d’écrire L’Esprit de conquête. 1814. Intrigues p
72 et celle du jeu. Feuilletons le journal de cette fin d’année 1813 : 13 octobre. Quelques vers. Je voudrais écrire quelqu
73 as qu’il y ait rien à faire. 5 mai. Visites sans fin chez moi. (Les 9 et 24 mai, le Journal des débats publie deux articl
74 nnaissait depuis près de vingt ans, et jusqu’à la fin des Cent-Jours, un prénom reviendra dans toutes les notes quotidienne
75 entait et sa fatigue augmentait son émotion. À la fin , il ne put la contenir et il éclata en sanglots ; la contagion gagna
76 politiciens de son bord, ceux dont il parle à la fin des Cent-Jours : 21 juin 1815. L’empereur m’a fait demander. Il est
77 ur et pour le pire, dans sa genèse comme dans ses fins , l’État-nation est lié à la guerre, mieux : il est l’état de guerre e
78 quête écrit et composé entre le 25 novembre et la fin décembre 1813. La seconde partie, De l’usurpation, sera écrite et com
25 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe, invention culturelle (1980)
79 issant sans cesse librement, qui s’étendrait à la fin à tous les peuples de la terre ». Pour Hegel, une génération plus tar
80 génération plus tard, l’Europe est vraiment « la fin de l’Histoire dont l’Asie est le commencement ». Elle est le lieu où
81 ’angoisse, durant mes années d’exil américain, de fin 1940 à 1946. Mais à mon premier retour en Europe, en 1946, ce que je
82 ts », qu’elle est « au plus bas », que « c’est la fin  » et que nous voici tous « enchaînés, humiliés, malades de peur ». Jo
26 1980, Articles divers (1978-1981). Lew Kowarski et la responsabilité sociale du scientifique (1980)
83 écrit que la grande question qui se poserait à la fin du siècle est de savoir s’il y a quelque chose que l’homme puisse fai
84 les manifestations prévues à Creys-Malville pour fin juillet. Ce qui hantait Kowarski, c’était le sentiment d’une polarisa
85 e santé imposait à son action. Il hésitait encore fin juillet. Puis il y eut l’affrontement du 31 juillet, la mort du jeune
86 environs de 1970. Ces années charnières ont vu la fin de l’après-guerre, de la reconstruction, et de l’élan économique qui
87 nature, plutôt que cherchant à la subjuguer ; la fin des illusions sur l’énergie quasi gratuite et un début de dénonciatio
27 1980, Articles divers (1978-1981). Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 (1980)
88 cle, jusqu’ici. S’il est vrai qu’il commence à la fin du xixe , il faut donc situer sa naissance entre 1914 et 1918. Le xix
89 nconscient et celle des abîmes infra-atomiques… Fin du nouveau printemps La Deuxième Guerre mondiale mettra fin brusqu
90 u printemps La Deuxième Guerre mondiale mettra fin brusquement à ce nouveau printemps de l’esprit européen. Ce qui va se
91 e leurs satellites. Et de Dada, qui se voulait la fin de l’art bourgeois, sont issues les plaisanteries dites « métaphysiqu
92 me période du xxe siècle me paraissent être : la fin de la « gratuité » et de l’art pour l’art ; la dénonciation de l’absu
93 enue spectacle — le théâtre « vécu par tous ». La fin de cette deuxième époque du xxe siècle sera marquée non seulement pa
94 s hebdomadaires français qui dressaient, en cette fin de 1979, un bilan culturel de la décennie écoulée. C’est ainsi que je
28 1980, Articles divers (1978-1981). 1979 [Iran, Three Mile Island, Cambodge…] (2 janvier 1980)
95 pollutions et ses centrales nucléaires. Avant la fin du siècle, l’Iran devait devenir la cinquième puissance industrielle
29 1980, Articles divers (1978-1981). La maîtrise sociale des besoins (avril-juin 1980)
96 ils ne savaient plus comment la satisfaire. À la fin , ils lui demandèrent : « Qu’as-tu ? » Elle dit : « J’ai faim ». Ils l
97 pire dénoncées comme autant de trahisons de leurs fins alléguées. (Distributions de vivres à une population immédiatement ré
98 vante, brillante et jargonnante, qui se moque des fins (survie d’abord, puis Vie développée vers le Sens), et ne tient compt
99 sans nul souci de vraisemblance, qu’elle va sans fin doubler tous les sept ou dix ans, on déclare nécessaires des réacteur
30 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe et l’environnement (28 juin 1980)
100 bitant de notre globe aura diminué de moitié à la fin du siècle. Six cents millions d’hectares de terre cultivable auront é
101 ys-Bas est déjà bétonné, et ce sera 25 % avant la fin du siècle. À quoi serviront les autoroutes quand l’essence coûtera vi
31 1981, Articles divers (1978-1981). Fédéralisme, personnalisme, œcuménisme (1981)
102 non plus n’est pas terrestre : elles attendent la fin des temps. Et cependant, elles constituent bel et bien les germes d’u
103 Et maintenant nous voici dans le drame de cette fin du xxe siècle. Nous constatons que le conflit en cours est insoluble
104 it la seule Internationale en opération, en cette fin du xxe siècle, les Internationales idéologiques et politiques s’étan
32 1981, Articles divers (1978-1981). Quelques maximes de prospective (1981)
105 lle-même ne relève pas de la divination, mais des fins qui aimantent notre action. À partir de nos fins, calculons. Toute
106 fins qui aimantent notre action. À partir de nos fins , calculons. Toute autre voie, méthode ou martingale conduit nécessai
107 sur l’essentiel : sur l’homme, ses besoins et ses fins , qui ne sont pas du tout le profit des États, le prestige national, l
108 ie du monde sur l’autre, ni même l’élévation sans fin du PNB, objectif proprement délirant de la plupart de nos ministres —
109 livre : Avant toute chose, il faut considérer la fin . Car la technologie n’innove pas selon la loi des choses, domaine du
110 orts technico-industriels, en l’absence de toutes fins avouables ou simplement imaginées. ⁂ L’Avenir n’est plus ce qu’il ét
33 1981, Articles divers (1978-1981). La Suisse face au danger de guerre : « Je suis un pessimiste actif » (4 mars 1981)
111 ré par l’idée d’une guerre atomique qui serait la fin de l’humanité, en tout cas de l’humanité civilisée. Rien n’est plus m
34 1981, Articles divers (1978-1981). L’Avenir est notre affaire (mai 1981)
112 smos. L’homme industriel contribue à accélérer la fin du monde en augmentant l’entropie, le gaspillage et la dégradation de
35 1981, Articles divers (1978-1981). « Les socialistes sont la chance de la France pour réaliser la réforme des régions » (5 août 1981)
113 tale, projet fondamental, le grand problème de la fin du siècle… Demain, l’Europe Si la France évoluait très sensible
36 1981, Articles divers (1978-1981). Information n’est pas savoir (octobre 1981)
114 onds et à les évaluer globalement par rapport aux fins dernières de l’homme. C’est pourquoi je suggère d’envisager le problè
115 métaphysique, devenu surtout politique depuis la fin du xviiie siècle français, peut être vue de deux manières contradict
116 agesse morale et spirituelle, qui est le sens des fins dernières auxquelles doivent s’ordonner nos moyens. Principe de base 
117 ême temps les pouvoirs de l’esprit au service des fins dernières de la personne, donc de sa liberté d’obéir à sa vocation pa
118 iginalité ont permis leur utilisation (sic) à des fins pratiques. » Les partisans de l’école sans maîtres nous assurent qu’e
37 1981, Articles divers (1978-1981). Information n’est pas savoir (octobre-décembre 1981)
119 ité, et à les évaluer globalement par rapport aux fins dernières de l’homme. Je me propose d’envisager l’informatique non pa
120 métaphysique, devenu surtout politique depuis la fin du xviiie siècle français, peut être vue de deux manières contradict
121 agesse morale et spirituelle, qui est le sens des fins dernières auxquelles doivent s’ordonner nos moyens. Principe de base 
122 ême temps les pouvoirs de l’esprit au service des fins dernières de la personne, donc de sa liberté d’obéir à sa vocation pa
123 iginalité ont permis leur (sic) utilisation à des fins pratiques. » Les partisans de l’école sans maîtres nous assurent qu’e