1 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Le rêve américain (9 novembre 1945)
1 au bord du délire collectif. Mais la danse prend fin , tout s’apaise. Les couples se séparent un peu. Personne ne parle. Su
2 it pas aux limites. Une limite, c’est toujours la fin d’un rêve. Non seulement les limites le gênent, mais il ne veut pas m
2 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
3 oyen en matière d’art et surtout de peinture. (La fin de Fantasia, sur l’Ave Maria de Schubert, n’est qu’une suite de carte
3 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
4 bien cette fièvre de rivaliser dans la dépense en fin d’année, est-elle comme chez les primitifs la manière de conjurer le
5 ui qui gagne à tous les coups. Qu’apportera cette fin d’année ? Un dernier speech de La Guardia à la radio, révélant une de
6 ode au sujet de cette invention « qui signifie la fin de l’humanité ou l’aube d’un âge d’or » à votre choix. Déjà, le syndi
4 1947, Carrefour, articles (1945–1947). « Jean-Paul Sartre vous parle… et ce qu’en pensent… » (29 octobre 1947)
7 isme de la moustache, qui en disqualifie toute la fin . (Hitler portait la moustache. Tous les hommes qui la portent en sont