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ue leurs mystiques saura nous indiquer les vraies
fins
de la lutte. Conscience civique et conscience religieuse. J’illustrer
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l’époque du concile de Constance, et mourut à la
fin
du xve siècle. Son existence coïncide donc exactement avec la derniè
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dentale. Le concile de Constance venait de mettre
fin
au Grand Schisme de la catholicité. Au pape d’Avignon, au pape de Rom
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intérieure de Nicolas semblait appeler comme une
fin
obscure et pourtant obsédante. Vie libre d’un laïque chrétien, hors d
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r profonde quant aux pouvoirs de l’homme et à ses
fins
terrestres. En appelant et préparant de toutes nos forces une Europe
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te debout). VII. Alléluia (chant spontané). (À la
fin
du culte, après l’Oraison dominicale, chant spontané d’une strophe du
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us les chiffres et proportions qu’il cite vers la
fin
de son article soient erronés, — ceci pour deux motifs, l’un d’interp
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ittérature morale des pays protestants, depuis la
fin
du xviiie siècle et jusqu’à pas si longtemps que cela, en Suisse rom
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fait, pour l’exposer sans cesse à la question des
fins
dernières, métaphysiques et spirituelles. Elle est là pour défendre l
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onnement et tout asservissement automatique à des
fins
purement sociales, fussent-elles déterminées par la plus sûre des sci
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tracondensée, la juste relation des moyens et des
fins
. Je n’en tirai d’abord que des formules abstraites, mais dont je pres
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çu. 3. Toute action efficace commence donc par la
fin
. Avant toute chose, il faut considérer la fin. 4. La fin seule justif
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la fin. Avant toute chose, il faut considérer la
fin
. 4. La fin seule justifie les moyens, dans la mesure où elle est just
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ant toute chose, il faut considérer la fin. 4. La
fin
seule justifie les moyens, dans la mesure où elle est juste, et où il
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r du moment où se trouve posée la question de nos
fins
dernières. Elle est liée à la vocation. ⁂ On pourrait définir une sor
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et séculière des moyens d’une part, et la foi aux
fins
transcendantes d’autre part, cette distinction fondamentale et radica
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C’est un moyen, ici encore, dicté et créé par sa
fin
. Car c’est l’Esprit qui nous meut à prier. Les « soupirs inexprimable