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idu pour orienter ses données naturelles vers des
fins
révélées par l’Esprit, il est bien clair que la personne, pure ou imp
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la Parole qui était sa vraie vie, sa vocation, sa
fin
dernière ? Jésus-Christ est cet Homme, et c’est pourquoi sa réalité h
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me de profit : il concerne ici, pour une fois les
fins
les plus hautes de l’existence terrestre. « Un fait de notre vie ne v
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il s’agit de faire état des choses premières, des
fins
dernières, en tant que telles. De là ce rationalisme agressif qu’il o
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stant : Æternitas non est temporis successio sine
fine
, sed nunc stans 14). Elle veut cette vie-ci. Et tout le reste, qu’ell
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vant Dieu et devant les hommes. Ce ne fut qu’à la
fin
de sa vie qu’il s’offrit sans masque à la lutte contre l’Église établ
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iendra jamais à « utiliser » Kierkegaard pour des
fins
politiques et temporelles. Il se dresse au seuil de l’époque, comme l
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s de malaise. D’autres qui s’essaient à penser en
fin
de semaine, comme on fait un peu d’ordre dans l’appartement, reculent
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qui aboutissait là. Contempler dans sa mort la «
fin
» de sa passion et l’accomplissement de sa foi, tel fut le sort de Ki
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é qu’un homme possède de rapporter ses actes à la
fin
qu’il poursuit avec la plus grande rigueur. Ceci dit, il reste à savo
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ommencement, et bienheureux est celui qui dans sa
fin
, possède son commencement. » Mais l’homme déchu de son origine éterne
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de son origine éternelle a perdu la vision de sa
fin
. Le voici prisonnier des formes et des nombres, esclave des lois d’un
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ternel. Æternitas non est temporis successio sine
fine
, sed nunc stans. L’éternité a marché sur la terre : ainsi le Christ e
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l’origine de sa réalité. Celui-là seul connaît sa
fin
, et l’ordre éternel de sa vie. Celui-là peut juger ce monde, et s’y t
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nunc, — quand la foule est ubiquité et fuite sans
fin
dans le passé ou l’avenir. 7.Un seul utile à tous La phrase de
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l’éthique par Dieu lui-même, en vue de certaines
fins
particulières. Les contradictions vexatoires que K. relève parmi les
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sur un Et allons !… Solution goethéenne dans ses
fins
apparentes, mais sur un fond d’absurdité hostile, et non pas de confi
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sans contenu d’espérance ou de foi, et sans autre
fin
que terrestre. École de la personne, elle peut aussi devenir une simp
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e travail… Pour moi, je crois que Dieu connaît la
fin
, la somme, la valeur absolue de nos actions passées, présentes et fut
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e serait-ce pas justement être rivé au temps sans
fin
, et refuser l’éternité qui vient nous délivrer du temps ? C. M. — Mai
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r le serf arbitre au déterminisme : c’est à seule
fin
d’attaquer le « Germanisme » destructeur de toute liberté ! Ce genre
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t exact de dire qu’elle s’ordonne par avance à sa
fin
. On n’imagine pas d’aborder l’œuvre et la personne de Ramuz d’une faç
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seulement elle doit avoir un commencement et une
fin
, mais des contours, et non seulement des contours, mais un relief et
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trée du cinéma (L’Amour du Monde), approche de la
fin
du monde (Présence de la mort, Les Signes parmi nous), mythe de l’or
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8 — sont expliqués à la lumière des Écritures. La
Fin
des temps est proche, il faut en témoigner. Caille pénètre dans les c
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e. Vers le soir il éclate tragiquement. Est-ce la
Fin
? Grande heure de terreur et de prière… Puis, « la page du ciel a été
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erpétuels — sujets d’étonnement perpétuel — et la
Fin
du Monde est l’un d’eux. Un vrai mythe, c’est-à-dire un événement per
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ement dernier et qui régnait aux Origines, car la
Fin
et le Commencement « sont en ressemblance et voisinage ». Ce regard r
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ommence à vrai dire que là où leur personne prend
fin
. Elle n’est pas dans le contact aussi direct que possible avec l’obje
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avec le commencement de sa personne ; elle prend
fin
là où commence pour lui l’impersonnel. Elle est dans le contact aussi
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ps de Goethe. Plus encore que sa valeur, c’est sa
fin
qui est devenue contestable. Il se peut que l’effort réactionnaire de
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it mis en demeure de déclarer ses origines et ses
fins
. Voici le temps où l’homme est attaqué par des puissances qui veulent
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out ce qu’il n’est pas. « Tout cherche partout sa
fin
, complément ou efférence, sa part dans la composition de l’image, le
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u’il ne tire ses règles et sa nécessité que de la
fin
totale qu’il glorifie. Ce n’est pas notre monde tel qu’il est 84 mais
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origine, c’est rompre aussi sa communion avec la
fin
universelle. Alors l’homme se complaît dans une fin qu’il fait sienne
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n universelle. Alors l’homme se complaît dans une
fin
qu’il fait sienne, c’est-à-dire qu’il s’isole et s’abstrait du mouvem
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mouvement de la Création. « Et c’est pourquoi une
fin
lui fut en effet donnée » — qui est sa mort. Mais l’œuvre du poète, l
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seul geste, de réunir, de relancer vers sa vraie
fin
tout ce qu’une durée mauvaise a disjoint et altéré. « Car l’attente a
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t d’agir sa vocation. Dans l’acte conscient de la
fin
qui l’englobe, il n’y a plus de distinction du matériel et du spiritu