1 1946, Journal des deux mondes. Avertissement
1 qu’on dise on dit tout, si le lecteur a l’oreille fine . Il ne reste donc plus qu’à distraire ce lecteur, à orienter son atte
2 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
2 autres ! On voudrait parfois être riche, à seule fin de maintenir certaines distances, — celles-là mêmes que, dans mon Jou
3 atelle transfigurée par les rayons obliques d’une fin d’après-midi dorée. Échangeant des nouvelles de nos amis communs d’Ar
4 cette bouleversante déclamation chorale, vers la fin  : « Il y a l’espérance, qui est la plus forte ! Il y a la joie, qui e
5 de petite attente. Il faut juger notre vie par sa fin , pour mesurer l’importance relative des événements qui nous font les
3 1946, Journal des deux mondes. Intermède
6 interrompit les conversations. Nous entendîmes la fin d’une phrase en italien, puis une fanfare joua l’hymne national. Le s
4 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
7 cantonnement, quelque part à la frontière suisse, fin septembre 1939 — Tu te rends compte ? dit un camarade. — Pas trop.
8 rtive existence. Surtout quand il tombe une pluie fine . Ce n’est pas seulement à cause de la saison qu’il convient de parler
9 donne pas lourd de notre indépendance. Berne, fin novembre 1939. (Au retour d’un voyage en Hollande.) Je l’ai pourta
10 ndis que des sifflets annonçaient un départ. À la fin , je retrouve un wagon qui me paraît être le mien, mais je l’avais qui
11 in, oui, c’était bien Paris, et les sirènes d’une fin d’alerte. ⁂ Paris, capitale engloutie dans l’épaisse nuit des campagn
12 eu, non pas seulement un tunnel et des forts ? Fin février 1940 Terminé ma prospection de textes pour le « Bréviaire
13 ne liberté puissamment significative. Le sens des fins dernières et une facture, ce qu’il faut pour faire du grand art, pour
14 lémique mais une acceptation des choses, à toutes fins utiles ou spirituelles, à la volée d’une imagination qui se soucie d’
15 utoportrait qui subsiste de lui nous montre, à la fin de sa vie, un regard doux et perspicace, un visage aigu de malade, pe
5 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
16 : filioque, salut par la foi, grâce suffisante… Fin mars 1940 Au mois d’août de l’année dernière, le jour du pacte ger
17 , nouvelles de la bataille des Flandres, c’est la fin d’un communiqué, régions perdues encore, régions perdues dans le pass
18 rappés. Cela passera donc sans histoires. Vers la fin de la matinée, téléphone de M. Oui, il y aura des histoires, paraît-i
6 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
19 trait simplifié que la police en compose à toutes fins menaçantes. Songeons aussi que ces procédés s’appliquent précisément
20 i serait vérifiée à l’instant même ! New York, fin septembre 1940 Ces histoires de visas et de passeports, j’y revien
7 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
21 fond de l’horizon porte la’ gloire. Princeton, fin d’octobre 1940 À une heure de New York, nous sommes en pleine camp
22 et l’aventure. Donc, mon héros commencera par sa fin . Un pressentiment l’a fait se lever de son fauteuil, marcher comme un
23 tres encadrées de pierre et surmontés de clochers fins au bulbe d’or, devant le couvent luxueux des moines anglicans, et plu
8 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
24 plusieurs jours de la Création. Buenos Aires, fin d’octobre 1941 Notes pour un reportage éventuel : 1. La féodalité
25 ne sont plus ce qu’ils étaient. Mon séjour a pris fin dans un feu d’artifice de fêtes champêtres et citadines. C’était le p
9 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
26 t de situation sans espoir qu’elle n’en crée ? Fin décembre 1941, 5, West 16th Street Trouvé un petit atelier, près d
27 r d’écrire et de me sentir libre nuit et jour. Fin mars 1942 Écrit finis à six heures du matin. Église Saint-Marc à l
28 t d’être en état de grâce ! — J’ai dormi vers la fin du film. Que s’est-il donc passé entre le moment où le fugitif embras
29 la France et retransmis de Londres par la BBC. Fin mai 1942 Échantillons. — Voici donc la section de langue français
30 . Telles sont les petites surprises de l’exil. Fin juin 1942 Une journée à l’OWI. — André Breton, superbement courto
31 ins. « Contribuer au progrès collectif », mais la fin du progrès ne peut être qu’une plage, un loisir sur la plage, et nous
32 e du Nord, depuis quelques jours… Long Island, fin septembre 1942 Bevin House. — Nouvelle maison à la campagne, à de
33 s fait savoir qu’on peut y aller. Bevin House, fin octobre 1942 Dans cette maison d’il y a longtemps, semblable à cel
34 t du diable , qui devait paraître à New York à la fin de 1942, dans une première version. La seconde version, élargie, date
10 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
35 es !) Bien écrire, c’est régler ses moyens sur la fin que vise un écrit. Cette fin peut condamner la phrase trop « écrite »
36 er ses moyens sur la fin que vise un écrit. Cette fin peut condamner la phrase trop « écrite » ; ou l’exiger, selon les cas
37 d’un cœur, d’un taureau ou d’un four « banal »). Fin de la vie d’un Tolstoï ou d’un Goethe ; d’un Valéry et d’un Gide, par
11 1946, Journal des deux mondes. Virginie
38 dont on n’approuve soi-même ni les motifs ni les fins , c’était malsain. Et celui qui ne peut plus s’exprimer librement au s
39 . « Trop intelligent pour agir » était une phrase fine à Paris, comme à Londres et même à Berlin. Or la langue française nou
40 n, pour y chercher la trace d’un sabot vierge. Fin d’octobre 1943 Souvenir d’un orage en Virginie. — Grands plateaux
41 ui mord une pomme, et son torse paraît nu dans un fin sweater jaune. Elle rit, jette la pomme, et nous salue de la main. Le
42 s tenté d’écrire la suite du roman. New York, fin d’année 1943 Note sur l’atonie générale. — Chacun s’imagine que l
12 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
43 mes ce matin subitement rapetissés. C’est donc la fin de l’époque des grandes manchettes après douze ans ? Qu’allons-nous d
44 ain que si elle cesse de lutter. Lake George, fin juin 1945 Le dernier des Mohicans. — Le clapotis doux d’une pagai
45 -uns de mes meilleurs amis sont antisémites… » Fin juillet 1945 Le mensonge allemand. — Au problème juif, la défaite
46 l’heure du cocktail sur notre grande galerie, une fin d’après-midi dorée. Le lac n’avait jamais été plus pur et calme. Nous
47 rai donc !… Les autres se taisaient. New York, fin octobre 1945 Rentrée. — Mon appartement ayant été vendu pendant l
48 C’est ce qu’on en voit de l’étranger. 75e rue, fin novembre 1945 Un camion ce matin m’apporta quelques meubles de Bee
49 ien cette fièvre de rivaliser dans la dépense, en fin d’année, est-elle comme chez les primitifs une manière de conjurer le
50 ui qui gagne à tous les coups. Qu’apportera cette fin d’année ? Un dernier speech de La Guardia à la radio, révélant une de
51 ode au sujet de cette invention « qui signifie la fin de l’humanité ou l’aube d’un âge d’or » à votre choix. Déjà, le syndi
52 dira : « Well, c’était donc pour tout cela… » Fin décembre 1945 Du vain travail de décrire un pays. — Le peu que j’
13 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
53 J’ai quelque chance de pouvoir m’envoler vers la fin de mars au terme d’un travail commencé en janvier dans une douzaine d
54 oits bleus, médiéval. Et voici qu’une cloche très fine a sonné cinq coups délicats. Puis une autre plus loin, et plusieurs e
55 les puissances qui comptent. 12 avril 1946 Fin et Suite. — J’ai revu Genève et sa cyclophilie torrentielle, allègre
14 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
56 ’ignorer son étendue que de céder à ses vertiges. FIN