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ient par la Méditerranée : le christianisme. À la
fin
de l’Empire, aux débuts du haut Moyen Âge, sous Charlemagne, la pénin
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e l’Afrique ? Comment échapper à ces guerres sans
fin
, à ces querelles théologiques et scolastiques qui se terminent trop s
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tutelle : l’Amérique du Nord la première, dès la
fin
du xviiie siècle ; l’Amérique latine pendant la première moitié du x
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naissantes contre l’Occident divisé. Serait-ce la
fin
de l’Aventure occidentale, qui aurait donc consisté, dans l’ensemble
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des eaux et des lieux, chapitre V, qui date de la
fin
du ve siècle avant J.-C., et qui fut peut-être rédigé par l’un de se
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de population que celui proposé par Vauban… à la
fin
du règne de Louis XIV ». 6. La population de la Chine vers 1850 étai
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loniser le Groenland, où Erik le Rouge règne à la
fin
du xe siècle. De là, ils découvrent le Labrador, puis la Nouvelle-Éc
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vous ai laissés sur cette question : serait-ce la
fin
de l’Aventure ? Tout pronostic relatif à l’Europe doit se baser, à mo
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entifique. Voyons donc les faits mesurables. À la
fin
de la dernière guerre, en 1944 et 1945, des géographes et des économi
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nes, épousant la nature tout en l’utilisant à des
fins
militaires, agricoles, commerciales, après avoir été souvent sacrées.
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pas seulement rapproché la technique de sa vraie
fin
, qui est de libérer l’homme du travail servile, elle a pris conscienc
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ndre au Marché commun, voire à l’OTAN ; 2° mettre
fin
à la guerre des religions, car toutes les religions tendent à la même
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gions, car toutes les religions tendent à la même
fin
d’adoration et leurs cérémonies se valent donc. « Seul un esprit born
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sme étatique et chauvin, puis autarcique. Vers la
fin
du siècle, tous les bons observateurs de cette évolution, Jacob Burck
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ution dialectique : celle du nationalisme. Dès la
fin
du xviiie siècle, les disciples de Rousseau, puis Herder, Bentham et
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ension des deux grands, qui date exactement de la
fin
de la dernière guerre, au plan mondial. L’Europe se sentait écrasée e
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on. Dans la coïncidence que j’ai révélée entre la
fin
de notre impérialisme colonial, les débuts de notre union fédérale, e
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e crever… Elle fait eau de toutes parts… C’est la
fin
. » (Voir en appendice : « Sartre contre l’Europe ».) 52. Lettre de M
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ts », qu’elle est « au plus bas », que « c’est la
fin
» et que nous voici tous « enchaînés, humiliés, malades de peur ». Ce
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e, ils n’auront plus personne sur qui tirer. D’où
fin
des guerres. Ce nouveau plan de paix perpétuelle est fait pour ébloui
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lonialistes de l’Europe — sept sur vingt-six à la
fin
de la guerre — presque ruinées à deux reprises par leur délire nation
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tre de Hegel, qui tenait l’Europe pour « la vraie
fin
de l’histoire », et d’Auguste Comte qui voyait en elle « le privilège
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ahis par nos pratiques. L’ère colonialiste a pris
fin
, pour des raisons qu’ils ne pouvaient prévoir. Pourquoi crier encore,