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ou d’estimation commune des buts de la vie et des
fins
de la société. Il n’y a plus en commun que des mots vagues comme libe
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elles s’impliquent l’une l’autre. » De plus, à la
fin
de son essai (pages 314 à 316), Sartre rejoint (à peu de chose près7)
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par son allure même. Que le style s’ordonne à sa
fin
, et non plus à de bons modèles. Et qu’il rappelle à la situation, au
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nnie, parce que, secrètement, elles aspirent à la
fin
de leur liberté et de leur responsabilité. Je voudrais suggérer ici q
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s structures, morales d’abord, d’une cité dont la
fin
dernière soit la liberté de chacun, et non pas la puissance du tout :
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r politique, l’économie et le milieu naturel, les
fins
ultimes et les moyens techniques. De cette dissolution du lien social
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e passé. Ce que l’écrivain doit au monde en cette
fin
du xxe siècle, c’est de susciter le modèle d’une communauté ouverte,