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e, le diable quitte la scène, comme l’évêque à la
fin
d’une procession. Rien de plus clair que cette histoire : les hommes
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encore l’Esprit et les esprits, mais non plus la
fin
et la gloire à laquelle ils sont destinés. Ayant refusé de servir Die
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nt de l’âme créatrice, dès qu’il est détourné des
fins
prévues par Dieu, nous jette au mal, qui est la torsion du bien et du
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libi Il est étrange de constater que depuis la
fin
du Moyen Âge, depuis que Luther lui jeta son encrier en pleine figure
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l. Le véritable Antéchrist ne se révélera qu’à la
fin
des temps, comme notre accusateur impitoyable. Et alors nous n’aurons
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iété ; et il existera sans aucun doute jusqu’à la
fin
de l’histoire de notre race. Hitler n’a fait que lui prêter figure et
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, puisque c’est lui qui l’a créée pour ses seules
fins
, et qu’il n’existe rien au-delà. La religion politique, ou la politiq
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s Hitler10 Hitler s’est tu. L’aventure a pris
fin
dans la catastrophe prévue. Et devant le cadavre gisant de l’homme qu
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ter ses puissances obscures et les ordonner à des
fins
tantôt pratiques, tantôt transcendantes. Canaux exutoires ou écluses,
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le s’est évanouie et que le nom du chef, à toutes
fins
utiles, demeure sans importance pratique, ou inconnu. Quand il serait
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ts, des électeurs possibles, des obligés à toutes
fins
utiles : c’est une version démocratique de l’Homme de Cour, que l’on
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la charge, il prétend aussitôt le gérer pour ses
fins
, comme il lui plaît, non pas comme il plaisait au Créateur même de ce
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s, comme Dieu le Roi de l’Éternité. Le temps sans
fin
, voilà l’Enfer. La présence parfaite, voilà l’Éternité. 44. Le dia
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u’il ne l’entendait. Ou disons mieux : à d’autres
fins
. On connaît la légende du Moyen Âge : le diable portant pierre parmi
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écho de la rédemption dans son abîme d’ennui sans
fin
? Un retour nostalgique du bien qu’il aurait provoqué malgré lui en m
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e. Nous le saurons au Jugement dernier. C’est la
fin
seule qui justifie les moyens ambigus de l’art. Si le diable même y c
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du Moyen Âge et des époques qui discutaient sans
fin
les cas de possession, c’est-à-dire d’individus particuliers se livra
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s, jargons de métier, patois divers, tant qu’à la
fin
elles ne se comprirent plus. La multiplicité des langues était née du
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nous avons perdu de vue la mesure et le sens des
fins
dernières de l’œuvre humaine. L’individu s’égare dans ces vastes roua
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se à dire. D’ailleurs, même si je n’avais dit que
Fine
day to day, c’eût été une sorte de question ou de réponse. Je pensais
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s, tout ne dépend pas de nous ! Le principe et la
fin
de l’Ordre, la sommation, le sens final, sont dans la main de Dieu, q
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sitôt nous voici délivrés du souci monstrueux des
fins
dernières de notre destinée, du souci même de notre orgueil, qui nous
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arrêté dans le courant d’un fleuve, produit à la
fin
un amoncellement de terre qui le détourne. Je dis que nous pouvons p
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i ne soient point eux-mêmes des trahisons de leur
fin
. Il faut aider les hommes si faibles d’aujourd’hui à devenir un peu p
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euse, le ronron du style officiel, le gâtisme des
fins
de banquet ; et quand nous sommes abêtis de discours, lui, le romanti
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dérèglement des critères32 a toujours annoncé la
fin
d’une cité et de sa culture. À l’orgueil et à la brutalité proclamés
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à doses infinitésimales, et cela se verra dans la
Fin
. Le douteur cherche une certitude, le négateur crée malgré lui, dans
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avait cru pouvoir démontrer que Napoléon mettrait
fin
à l’Histoire, parce qu’il avait le plus grand nombre de canons. Trois
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e d’être ? Le mal est ce qui m’empêche de voir ma
fin
, de distinguer ma vocation, et d’y tendre de toutes mes vraies forces
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ant de nos raisons de vivre et de leur quête sans
fin
, par l’offre de mieux vivre selon le monde : dans la série, l’imitati
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t du diable , qui devait paraître à New York à la
fin
de 1942, dans une première version. La seconde version, élargie, date