1 êtise qui s’occupe des affaires publiques et tout finit en dictature : plus question de pensée libre, j’entends : de pensée r

2 er 1978)h I. Du temps que l’Europe « C’était fini  ! » L’Europe en formation ne semble pas du tout mal vue des Europé

3 s des responsabilités civiques ? « L’Europe c’est fini  », dit la presse. Ou du moins le disait-elle jusqu’à l’annonce de l’é

4 rive » — « L’Europe se meurt » — « L’Europe c’est fini  ». Sur les activités des Neuf : « L’Europe verte écartelée » — « Euro

5 urait fait faillite et comment « Bruxelles, c’est fini  ! » équivaudrait à la mort de l’Europe tout entière, ce qui est très

6 : même avenir. Un combat peut être perdu et c’est fini . Un avenir adviendra certainement. Ce qu’il m’importait de souligner,

7 ne : mais enfin les vainqueurs et les vaincus ont fini par n’être plus qu’un même peuple dans les divers pays de l’Europe et

8 une société réelle entrée dans un déclin qui doit finir en chute, à moins que le mouvement descendant puisse être artificiell

9 manuscrits. Enfin, il s’établit en Hollande où il finira ses jours, et où sera publiée après sa mort une première grande éditi

10 ces dans les élites traditionnelles et libérales, finit par s’imposer à tous les États de l’Europe à peu près simultanément d

11 endit beaucoup de discours enthousiastes, et l’on finit par se mettre d’accord, lors de la dernière séance à laquelle j’assis

12 ulture, ce qui me permettrait de me retirer et de finir les douze livres dont je vous parlais en débutant. Voilà pour mon eng