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ison pratique est cette lourdeur matérialiste qui
finit
par soumettre l’homme lui-même aux lois du nombre, qui sont les lois
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e je puis adresser à ces régimes, leurs partisans
finissent
par me répondre : Bon ou mauvais selon vos idées, c’est ce régime qui
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opéenne. Sinon nous serons colonisés, je n’ai pas
fini
de le répéter. Est-ce à dire qu’affirmer notre force, en face d’impér
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ngués aux mains prudentes, et qui n’auront jamais
fini
de soupeser leurs doutes opportuns. Il nous faut des mains maîtrisées
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n commune, un acte d’incarnation dans nos limites
finies
. Nous avons grand besoin d’une cure d’assobrissement. (Et c’est peut-