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combat. C’est comme la lutte avec une femme, qui
finit
au lit. » Mais on n’écrit jamais impunément, quel que soit le sujet e
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l’histoire, ou de péchés dans une vie, que le mal
finira
par exister en soi, — apparence encore, mais active, contre nature de
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a Bible appelle le diable : Légion. Ici nous n’en
finirions
pas de commenter, conformément à la nature du sujet. Bornons-nous à m
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données successivement, à force de se compenser,
finissent
par se neutraliser. Le diable n’est pas Hitler, qui pourtant est démo
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tie, elle offre trop de recettes éprouvées : elle
finit
par ne plus croire au bien, ni au sérieux, ni à la naïveté, cette ins
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e toute claire en apparence surgit enfin, pour en
finir
! (Qu’on songe au nombre des mouvements contradictoires qu’il a fallu
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uffre l’infini désir séduit et arrêté par un être
fini
, ne peut se résoudre que dans l’évasion vers le néant. Cette origine
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s, ardeur cruelle, « tout et rien ». Le passionné
finit
par voir dans ses souffrances le signe même de l’authenticité de sa p
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le mensonge féminin, sinon les femmes elles-mêmes
finiront
par s’y tromper, et le gâchis sera sans remède. Qu’elles rusent, bien
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42. Ce livre est-il sans issue ? Le monde va
finir
. La seule raison pour laquelle il pourrait durer, c’est qu’il existe.
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sombrons ?… J’ai décrit l’œuvre de Satan, et cela
finit
dans un cauchemar qui ressemble à s’y méprendre à notre époque. Mais