1 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
1 s d’un rêve inachevé. Mais il sait bien que c’est fini . Brève dispense, le temps d’un peu se souvenir… Il faut se lever. Il
2 1946, Journal des deux mondes. Intermède
2 Intermède Le soir du 28 août 1939, je finissais de dîner dans un hôtel de La Chaux-de-Fonds, et comme je me préparais
3 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
3 édéral — où je corrige ces notes de voyage, ayant fini le travail de la journée — me décourage un peu, ce soir. C’est le con
4 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
4 urrissent aujourd’hui de racines. L’orgie moderne finit en jeûne forcé, après le sacrifice sanglant. Chez les Papous prévalai
5 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
5 : — Thank you, Sir ! And good luck to you ! C’est fini . Le monde s’ouvre et s’éclaire comme au sortir d’un cauchemar. Mais c
6 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
6 , je leur trouve des visages plutôt informes, mal finis . On dirait qu’on les a livrés un peu trop vite à la circulation, comm
7 coup la paupière, fait un geste précis, tout est fini . Vous dites merci, l’autre est déjà parti, et vous sortez sans qu’on
8 ont répandu un terme dont il faut craindre qu’il finisse par tuer toute culture dans ce pays : c’est highbrow, qui veut dire à
9 dames des clubs de dames ! L’histoire de Superman finira par vous ennuyer, et vous regarderez dans la Cinquième Avenue, et vou
7 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
10 tir libre nuit et jour. Fin mars 1942 Écrit finis à six heures du matin. Église Saint-Marc à l’aube froide, quelques bo
8 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
11 ière de grand écrivain commence par la qualité et finit par la signification. À partir d’un certain moment, la gloire d’un ho