1 ison pratique est cette lourdeur matérialiste qui finit par soumettre l’homme lui-même aux lois du nombre, qui sont les lois

2 e je puis adresser à ces régimes, leurs partisans finissent par me répondre : Bon ou mauvais selon vos idées, c’est ce régime qui

3 opéenne. Sinon nous serons colonisés, je n’ai pas fini de le répéter. Est-ce à dire qu’affirmer notre force, en face d’impér

4 ngués aux mains prudentes, et qui n’auront jamais fini de soupeser leurs doutes opportuns. Il nous faut des mains maîtrisées

5 n commune, un acte d’incarnation dans nos limites finies . Nous avons grand besoin d’une cure d’assobrissement. (Et c’est peut-