1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 ousse à faire le saut dans le vide qu’exige toute foi  ; c’est la volonté de sincérité, c’est-à-dire une sincérité tournée a
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
2 , qui est théologien, et de la Tchaux, n’a pas la foi . Topin, Mahomet désabusé, constate que jamais « la Montagne » ne saur
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
3 ous n’est nulle part9 ». Ultime affirmation d’une foi que plus rien ne peut duper. Depuis certaines paroles sur la Croix, i
4 croire, pour un autre, que c’est arrivé, ajoutant foi , dans tous les sens qu’admet ce terme, à des exaltations que leur lyr
5 révocable désespoir n’est encore qu’un appel à la foi la plus haute.   1er mai 1927. Mieux vaut pécher par ridicule que pa
6 des incrédules le droit à parler des choses de la foi comme étant d’un ordre qui leur échappe ; de même je récuse ici certa
4 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). « Belles-Lettres, c’est la clé des champs… » (janvier 1929)
7 ci : les anciens bellettriens qui ont perdu toute foi ne connaîtront pas de pardon. Car ils ont vu, et s’ils n’ont pas cru,
5 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
8 oi contradictoire pour le mettre aux ordres de la foi . C’est une colle de scolastiques ; elle alimentera quelque temps enco
9 : car il n’est d’action véritable que celle de la foi , lorsque « mettant les pouces », je me rends à son ordre. 2. On compr
10 e confusion dont le profit ne sera jamais pour la foi . Car l’opération de la foi ne relève pas d’un « invariant », connu ou
11 ne sera jamais pour la foi. Car l’opération de la foi ne relève pas d’un « invariant », connu ou inconnu, passé ou à venir,